Bonjour mon Cercle Amical, je viens vous parler aujourd’hui d’un livre que j’ai depuis tellement longtemps dans ma bibliothèque… 

J’avais acheté ce livre à Mons lors d’un salon où j’avais la connaissance de l’auteure, depuis je crois que j’ai tout acheté d’elle, j’adore sa plume.

Alors en ce Spécial Fête de la musique, je me devais de lire et chroniquer :

« Mixology » de Mon Amie Chlore Smys édité chez Black Ink.

Résumé Amazon :

« Mes nuits sont plus belles que vos jours.

En Dieu des platines que je suis, je profite des avantages que m'offrent ma renommée et le Starlight sans me préoccuper du lendemain.

Filles faciles, alcool, argent, le monde est à mes pieds.

Mais vous savez ce qu'on dit ?

Les meilleures choses ont une fin.

Je ne vais pas tarder à apprendre la définition du mot "problème". Et tous ses putains de synonymes. »

Extraits au hasard :

« On lui donnerait le bon Dieu sans confession, tu m’étonnes que ma sœur la reçoive à bras ouverts. Elle ne ressemble plus du tout à un Pokémon noir. Plutôt à un Pokémon arc-en-ciel, si ça existe, ou à un sapin de Noël. Elle a mis un jean ? Un legging ? Un truc qui peint ses jambes avec des taches de couleurs partout, sans doute du Desigual. Au-dessus, elle porte une chemise ample d’un coton écru tellement fin qu’on devine son push-up. Encore. Elle doit aimer montrer ses sous-vêtements. Elle n’a pas froid comme ça ? Si j’étais son mec… Enfin, mais qu’est-ce qui me prend ? Si j’étais son mec, j’aurais besoin d’une corde pour me pendre ! »

« Là, sur ce trottoir bruxellois, en plein milieu de la nuit, je prends conscience qu’elle est devenue un peu plus qu’une simple copine.

Parce que sa détresse me tord les boyaux. Parce que j’ai envie de retourner au Starlight pour défoncer ses potes qui l’ont abandonnée bourrée, blessée, perdue.

Sans réfléchir aux conséquences, je l’attire contre moi, niche sa tête dans mon cou. Elle m’enlace, timide, gauche, renifle contre moi. Je caresse ses cheveux, d’un geste que j’espère réconfortant. Une bouffée de parfum, mélange de vanille et de tabac froid, parvient à mes narines.

Mes hormones ne le supportent pas. En un réflexe typiquement masculin, ma queue se tend, avide, vers le somptueux corps au creux mes bras. Pourvu qu’elle soit assez beurrée pour ne pas le remarquer. »

« J’avais un plan. Cette fois, je leur montrerais, à tous, qu’ils avaient tort. Que, moi aussi, je pouvais accomplir des exploits. Quand mon père nous a appris qu’il négociait avec les VanPelt, le nom m’a tout de suite rappelé quelque chose. Une recherche Google plus tard, ce partenariat s’annonçait comme la solution à bon nombre de mes problèmes. J’allais convaincre le DJ producteur du Starlight de travailler sur l’album de Kris. La presse le décrivait brillant, arrogant à l’extrême, talentueux, imbuvable et hyper carriériste. Il ne refuserait pas une offre de l’héritière Belbev. Grâce à lui, les Jerk Faces conquerraient les charts. Kris atteindrait cette célébrité qu’il souhaite tant, et entamerait la cure de désintox qu’il m’a promise. Je le retrouverais enfin, après ces quelques années à le voir sombrer, choisir sa poudre plutôt que moi, pour écrire, créer, chanter, tenir, rester éveillé. Je prouverais à mon père que j’avais eu raison de tout abandonner pour mon copain. Qu’il avait bien fait de croire en nous, d’investir sur un groupe de rock, de financer mon prochain mariage. Bonne pub pour ses précieux breuvages. »

C’est ainsi qu’après un prologue sur les paroles de la si célèbre chanson du groupe « The Police » et son tout autant célèbre chanteur « Sting » : « Roxanne » que je me plonge dans ce livre.

D’ailleurs, j’adore l’idée d’introduire chaque chapitre avec les paroles d’une chanson, je ne le répèterais j’avais assez MAIS ça me donne l’occasion d’écouter ou de découvrir des morceaux musicaux alors rien que pour ça, je te remercie Chlore de cette idée.

Je suis déjà immergé à l’entrée du « Starlight » l’un des clubs les plus hype de Bruxelles, petite dédicace personnelle de l’auteure, qui, pour celles et ceux qui ne le savent pas, est belge. Je fais connaissance avec le narrateur en l’occurrence « Raph » et de sa sœur « Mélissa » sans oublier « Max » l’agent de sécurité du club.

J’avoue que la définition des trois lettres VIP façon Chlore Smys me fait bien rigoler, voici leurs définitions retranscrites du livre:

« Vrais Imbéciles Pédants »

Par contre, semble-t-il après une réunion assez houleuse avec les responsables de chaque secteurs du « Starlight », Melissa annonce que les caisses sont vides malgré la clientèle toujours aussi présentes dans l’établissement. Notre protagoniste en l’occurrence « Raph » se retrouve à perdre la direction du secteur Dj. Pour lui c’est un samedi soir qui commence très mal. Le repas avec de potentiels investisseurs doit bien se passer sous les conseils de Mélissa pour son frère et c’est ainsi qu’il va rencontrer le couple Dansereau ainsi que ses deux filles.tandis que l’une s’accroche à lui pour lui faire écouter un titre ( Roxanne) , l’autre passe la nuit chez le Dj sans qu’il ne se passe rien d’intime entre eux ( Daphné).

Évidemment, vu l’acharnement de Roxanne je oué que Raph écoute son morceau, ce dernier va céder et pour ne rien vous cacher, j’ai bien l’impression que ça va être le début d’une grande histoire qui ne va pas s’arrêter à la musique MAIS ce n’est qu’une extrapolation de ma part et si je devais avoir raison, je n’ai aucune intention de vous en dire plus ici même dans cette chronique.

En tout cas, j’apprécie la plume, si simple et fluide de l’auteure, j’ose dire qu’elle me parle autant qu’elle me rends Addict. Elle sait accaparer mon esprit pour ne rien remarquer autour de moi lorsque je suis plonge dans ma lecture de son livre. 

Note à l’auteure: Ah je dois malgré tout t’informer que l’on ne trinque JAMAIS avec un café, ça porte malheur Chlore. Maintenant je me demande pas d’où peut venir cet adage je n’en ai aucune idée MAIS je l’ai toujours entendu autour de Moi. Et même si je suis un grand amateur de café, je n’ai jamais osé trinquer avec .

En continuant ma lecture je m’aperçois que Dj Raph se retrouve à aider le groupe du chéri de Roxanne et par la même occasion il ne peut que constater la jalousie quasi-brutale de Kris envers elle. 

Nouvelle note à l’auteure: pendant quelques années, avant que la formule change, j’avais un précepte de vie chaque année lorsque j’allais au Salon du Livre Paris: Hurlant à qui voulait l’entendre que tout ce qui se passait à Paris a ce moment là, restait à Paris!!!( bon pour la confidence et les aveux, durant quelques années j’en ai royalement bien profité, j’en ai encore des souvenirs immenses). Maintenant autant être clair que je ne connais pas Amsterdam( enfin New Vegas plutôt), certainement aurais-je le même précepte j’en suis convaincu….

En continuant ma lecture je découvre une nouvelle narratrice qui n’est autre que « Roxanne » qui se livre aux lecteurs de cette œuvre. Parlant de son histoire avec Kris entre autre. J’avoue que je n’ai qu’une envie c’est le déglinguer ce mec Chlore sache le. 

Je suis tellement content en poursuivant ma lecture, l’auteure a une réelle culture musicale, j’ai un rappel d’un groupe que j’affectionne particulièrement en l’occurrence La Mano Negra et son si célèbre chanteur Manu Chao, je suis tellement étonné!

Je ne sais pas comment cette œuvre va se terminer cependant, je peux déjà hurler haut et fort que l’abus d’alcool peut être nocif et dangereux, Dj Raph en abuse trop fort malheureusement. 

Sans dévoiler ce qu’il s’y passe je tiens à noter à Chlore que si tu m’invites pour un réveillon du nouvel an en Belgique je ne viendrais pas désolé…

Il est à signaler que l’auteure décrit des scènes torrides à souhait MAIS sans une once de vulgarité. Les mots sont choisis quasiment poétiquement pour rendre encore plus magique la narration d’une scène Hot. Pour ma part je n’ai jamais réussi à décrire une scène de cette force sexuelle sans utiliser de mots crus alors que pour Chlore ce n’est clairement pas le cas. 

Tiens pour celles et ceux qui me connaissent et qui savent que j’ai été Dj durant presque trente ans de ma vie. Figurez-vous que dans mes rêves les plus fous il y a l’Ultra Music Festival a Miami. 

Toujours est-il, sans tout dévoiler j’ai juste envie de finir cette chronique en disant que l’Amour, le vrai, avec un grand A, finit toujours par gagner. Même après de nombreuses épreuves de la vie. 

Merci Chlore d’avoir écrit ce livre dédié à la musique et que tu as réussi d’une bien belle manière !!!!