Spécial Black Ink - Faisons connaissance avec Gwen Delmas !
Hello Gwen, tout d’abord sache que je suis heureux de te recevoir, ici même sur mon « Blog ». Alors, venons-en au fait ! Installe-toi confortablement, permets-moi de t’offrir, un café, un thé peut-être ou préfères-tu un mojito ?
Bonjour Fréd. Un café en journée, même si je tente parfois de me convertir au thé et en soirée, un mojito, avec plaisir !
Bien alors sache que je vais être curieux, mais je suppose que tu t’en doutes bien étant donné que tu as accepté cette entrevue. Tu es une fille, auteure, lectrice, sans oublier que professionnellement tu as un travail prenant et une famille. Donc, l’une de mes premières questions en quelques mots, qui est Gwen Delmas ?
Je suis donc tout ça, une fille, une sœur, une épouse et une maman comblée. Je vis dans le sud de la France avec ma tribu, l’Homme, jolie princesse et petit homme. J’exerce un métier que j’adore mais qui me mobilise beaucoup, j’essaie d’assister mon mari dans son activité, d’être une maman proche de ses poussins, des études de ma grande aux activités sportives de mon plus jeune. Et en plus de ce planning bien remplie, je suis auteure, blogueuse et podcasteuse.
Comment fais-tu pour tout conjuguer ?
Une super crème anti-rides et une maison en bazar ! Non, pas vraiment, mais un peu quand même. Tout d’abord, souvenir de mes années d’études, je dors peu. Ensuite, j’ai la chance d’être épaulée au quotidien par ma famille qui prend en charge plein de choses pour m’offrir du temps d’écriture et d’avoir une patience infinie pour les moments où je disparais dans mon imagination
Je vais me pencher plus vers ton activité d’auteure si tu me le permets : quel est le cadre idéal ou tu aimes écrire ?
J’écris n’importe où, en fait, avec quelques lieux repères, le jardin de ma maison de famille en Bretagne, la terrasse du café de ma station de ski fétiche ou ma terrasse. Mais plus prosaïquement, j’écris la plupart du temps à mon bureau, de préférence la nuit.
Qu’est ce qui t’a donné l’envie d’écrire ? et ton déclic ?
J’ai du mal à dater mon envie d’écrire. Je suis aussi bavarde à l’écrit qu’à l’oral (c’est dire !) et j’ai toujours eu un stylo en main, une histoire à raconter, un truc à noter.
J’ai commencé à écrire de vraies histoires à l’adolescence, quand j’ai compris que certains cours passaient bien plus vite en racontant les histoires que je voulais lire.
Mais le déclic de l’écriture « pour de bon » est bien plus récent. Pour mes 40 ans, mon mari m’a lancé un défi : partager ma passion ou me faire tatouer. Je n’étais pas encore prête pour l’aiguille, j’ai choisi la plume !
Même si je suis conscient que les auteur(e)s se servent de leurs vies pour écrire, je désire en découvrir plus sur tes sources d’inspirations, quelles sont-elles ?
Tout peut m’inspirer. Pour Perfect boss, j’attendais mes enfants à leurs cours d’escrime et c’est ainsi qu’est née Carla, mon héroïne, pour qui j’ai immédiatement écrit la scène du dénouement. Je pars souvent d’une scène centrale que je décline ensuite avec des personnages et leurs intrigues.
Pour Dark Angel, c’est parti d’un chanteur que j’ai découvert en mettant en place la playlist de L’Inconnu aux yeux de loup. J’en ai tiré ma propre intrigue.
La plupart de mes personnages ont quelque chose de moi ou de mes proches. Une passion, un trait de caractère, une blessure.
J’ouvre les yeux, j’écoute et parfois je me dis « ça, j’aimerais en faire quelque chose ».
Qu’oserais-tu dire à des lectrices et lecteurs potentiels qui n’ont pas encore eu la chance de te lire ?
N’ayez pas peur, vous risquez juste de passer un très bon moment 😉
Non, plus sérieusement, je leur dirais que j’aime la romance pour toute la richesse qu’elle permet d’aborder, que j’aime les héroïnes qui savent surmonter leurs failles pour s’accomplir et tenir tête à l’homme qui les fait craquer. Et que s’ils sont adeptes de livres épais, alors on a tout pour s’entendre !
(J’espère ceci-dit que mon retour au sujet de ta duologie en l’occurrence « Dark Angel » publié sur mon blog va déjà donner aux lectrices et lecteurs l’envie de te lire).
Je l’espère aussi, d’ailleurs ton retour est superbe !
D’ailleurs serait-il possible que tu me parle de ce livre. D’où t’es venue l’idée ? combien de temps as-tu mis pour l’écrire ? etc etc en clair je veux tout savoir ?
Je vis et j’écris en musique. Il était donc logique que, un jour ou l’autre, je me penche sur cet univers qui me fascine. Comme je le disais plus haut, un chanteur s’est infiltré dans mon esprit pour écrire une scène centrale de l’inconnu aux yeux de loup, mon troisième roman (paru aux Editions Addictives). J’ai bloqué sur cet élément, ces chansons qui, à un moment ou à un autre, ont marqué une étape charnière de nos vies. Chaque fois qu’on les entend, on peut dire précisément où et à quel moment on les a découvertes.
Je voulais ça, un jalon pour mon héroïne, Mickaela (Mike) qui la suit dans son histoire. Le personnage de Theon était assez clair dans ma tête, son passé, ses fantômes, sa lente rédemption.
Il m’a fallu presque un an, entre Covid, télétravail et grande période de doutes, pour en rédiger la première version. Un mois pour que Sarah Berziou lui ouvre les portes de Black Ink Editions et presque quatre mois pour toutes les étapes qui l’ont conduit à sa sortie en exclusivité au Festival Black ink éditions de 2022, près de deux ans après en avoir écrit les premières phrases.
Si tu avais le choix d’un ou une auteur(e) pour un quatre mains, qui choisirais-tu ?
J’ai deux choix de cœur, Sophie Pierucci avec qui on se dit depuis des années qu’il faudrait qu’on conjugue nos folies et Vanessa Degardin, une de mes très belles rencontres 2022 qui a été une bêta en or pour mon prochain roman.
Pourrais-tu me parler de tes livres déjà écrits ?
Il y en a pour le moment 6 (7 si on compte les deux tomes de Dark Angel) et 8 si on envisage le prochain à sortir.
Ce sont toutes des romances contemporaines.
Noël toi et moi est, comme son nom l’indique, une romance de Noël qui met en présence deux jeunes gens qui, pour des raisons diverses, détestent Noël et se rencontrent dans les grands magasins fin décembre avec une mission impossible, trouver le cadeau parfait pour une femme jamais satisfaite. Ils se lancent un pari fou, choisir chacun le cadeau que l’autre devra offrir. C’est une comédie parfois douce amère qui parle notamment de la famille et du rôle qu’on y joue.
Perfect Boss est une romance qui se passe dans le milieu du journalisme sportif. Carla Dubie est vice-championne olympique d’épée. Une fois, elle a laissé filer un point en pensant avoir l’occasion de se rattraper. Elle sait désormais qu’elle ne doit jamais laisser passer une opportunité de construire son bonheur.
Lorsque deux nouveaux boss se présentent dans la chaîne sportive où elle travaille, elle va devoir se confronter à ce qu’elle attend de sa vie et de ses envies.
L’Inconnu aux yeux de loup est une romance à suspense qui se déroule essentiellement dans la région marseillaise. Morsen Harton y occupe la fonction de chef de la sécurité pour un parrain marseillais. Pour accomplir son travail, il doit surveiller Alessia Salini, la fiancée du comptable de la famille, tragiquement disparu quelques mois plus tôt. Une mission sans encombre pour un spécialiste du contrôle ? Pas si sûr !
Sex Friends pas de contrainte que du plaisir est une romance très personnelle, malgré les apparences, qui traite de la difficulté d’aimer celui qui ne correspond pas du tout aux attentes de nos proches. Aurore a un prénom et une trajectoire de princesse. Quand son rêve s’écroule, elle s’enfuit chez sa meilleure amie, sans se douter que celle-ci cohabite avec son cousin, un tatouer au surnom de psychopathe aussi attirant qu’éloigné de sa propre vie. Le plan parfait pour une amourette sans conséquence. Vraiment ?
Boss Challenge a été, pour moi, le roman des Challenges. Il met en scène Une Boss(e) Deva Baldi, patronne d’une maison de mode en Italie. Elle tient le rôle de la femme de contrôle pour prouver à tous qu’elle mérite sa place. Lorsqu’elle embauche, presque malgré elle, Timo Brennen, un créateur génial mais anti conventionnel, ses certitudes vacillent dans une romance à suspense aux accents romains.
Ces cinq premiers romans ont été publiés aux Editions Addictives.
Dark Angel, tome 1 Bridgelight, tome 2 Take me Home, est, pour sa part, publié chez Black ink Editions. C’est une romance dans le monde de la musique et de Theon Moon, showman exceptionnel, capable d’hypnotiser des foules, mais incapable de gérer sa vie quand les lumières s’éteignent. Quand son équipe mandate Mickaela Perkins pour l’apaiser, il ne se doute pas qu’elle lui doit les premiers pas de sa reconstruction, grâce à l’un de ses premiers tubes, Dark Angel, ni qu’elle va bouleverser ses certitudes.
Ton tout premier manuscrit finis ?
Si l’on parle de ceux qui dorment dans mes dossiers secrets, il s’agit de Fibules, une romance dans le monde de l’espionnage pour lequel j’espère bien trouver un écrin.
Je le relis régulièrement, l’affine, le remodèle et un jour, promis, je le lancerai dans le grand bain.
Tu es auto éditée ou en Maison d’édition et pourquoi un tel choix ?
J’ai opté pour une édition en maison, en lien avec des contraintes professionnelles, d’une part, mais aussi parce que j’aime le travail que je peux y réaliser, de l’édito au travail graphique. J’ai de plus la chance de collaborer avec deux maisons d’édition certes très différentes, les Editions Addictives et Black Ink Editions où je me sens bien et où le travail mené comble mes attentes.
Avant de conclure le chapitre auteure, peut-être as-tu envie de m’offrir un scoop sur ton futur projet ?
Un scoop et même deux ! Le premier n’en est plus tout à fait un. Mon nouveau roman, une romance contemporaine dans le domaine de l’édition, sera présenté en exclusivité au Festival Black Ink, deuxième édition et sera disponible en juillet 2023.
Le deuxième sur mes projets en cours. Une young adult aux accents de mystère, une romance à suspens dans le monde du hacking, des spin-off ET un roman historique pour changer de style.
Passons à l’aspect lectrice. Comment choisis-tu tes lectures ? Quels sont tes styles de prédilections ?
Je lis de tout sauf de la poésie et des essais philosophiques. Autant dire que la palette est large et dépend de mes envies et de mon humeur du temps. Je lis beaucoup de romances, mais aussi de la fantasy, des romans historiques et des polars, essentiellement.
Ton auteur(e) favori(e) ? (Des raisons évidentes à ton jugement …)
C’est une question difficile. Je dirais Stendhal pour les classiques parce que j’ai découvert le lac de Côme sous sa plume, Chattam pour les polars et sa capacité à me terrifier sans que je puisse le quitter des yeux, Ludlum pour l’espionnage et ses romans, les premiers que je me sois payés avec mes premières paies de petit boulot. Pour la romance, impossible de choisir, il y a trop de choix, trop de coups de cœur.
Le tout premier livre que tu as lu, c’était quoi ?
Le premier premier s’appelait Il court, il court Frédéric, en bibliothèque rose. Le premier qui m’a bouleversée, la Nuit des Temps de Barjavel. Mon premier coup de foudre.
Ton coup de foudre littéraire ? Le livre qui t’a le plus bouleversé ? (Les raisons à cela)
C’est une question difficile. Je suis bon public et j’ai des coups de cœur réguliers. Le plus fort de tous, les Liaisons dangereuses dont j’ai, en son temps, appris des passages entiers. Dernièrement, Deep & Dark, la pépite de Sophie Pierucci, trop sous-côtée selon moi et le premier tome des Animaux Nocturnes d’Angel Arekin. Parce que, Angel Arekin. Comment ça, ce n’est pas une raison ? Pour ceux qui l’ont lu, c’en est une à elle seule.
Pour nourrir ma curiosité, j’aimerais aussi te demander si tu regardes la télévision, des séries peut-être ou des films, dis-moi tout ?
Je suis aussi fan de films et de séries, des films historiques en grande partie, Gladiator et Braveheart en priorité. Quant aux séries, j’oscille entre Outlander, la base, les séries médicales, policières ou fantasy. Bref, là aussi je suis assez éclectique.
Et la musique dans ta vie, a-t-elle une place ? Tes goûts …
Je vis en musique, je travaille en musique. Mes goûts sont assez larges, avec des mentions particulières pour U2, Radiohead, Muse, Ryan Star et Stereophonics, mas aussi les Corrs et Sarah McLachlan.
Voilà, nous arrivons bientôt à la fin de cet entretien MAIS, serait-il possible que tu glisses les liens ou l’on peut te découvrir ?
On peut me retrouver sur mon site https://melimelodegwen.fr Pour mon blog et mes actus,
Sur mon podcast, par exemple sur Spotify https://open.spotify.com/show/62xdfWt7mTWxNveW5BPlkn?si=009d2dc85a1b4b92
Sur Facebook https://www.facebook.com/GwenDelmasAuteur
https://www.instagram.com › gwendelmasauteure
Sans oublier de t’interroger sur mon blog, comment trouves-tu mon idée ?
J’aime beaucoup ta façon de mettre en lumière les livres et les auteurs. On y retrouve ton implication et ta bienveillance.
Où va-t-on avoir la chance de te croiser en salon cette année 2023 ?
Après le salon Romance Fever à Vendargues et le deuxième salon du livre de Gémenos en mai, je serai le 3 juin en dédicace au centre Leclerc de la Seyne sur Mer (83).
Puis je serai au Festival Black ink de la Rochelle du 14 au 16 juillet
Et sans doute un retour à la Seyne sur Mer en octobre (à confirmer)
Et enfin quels sont tes vœux et résolutions pour l’année 2023 ?
Redonner vie à mon podcast, en sommeil, retrouver un rythme de lecture plus soutenu, avancer mes projets d’écriture et rencontrer mes lecteurs plus souvent.
Gwen, je te remercie profondément de m’avoir accordé ce temps, même si je sais vu tout ce que tu fais, qu’il t’en manque. Aux plaisirs de se revoir bientôt.
Spécial Black Ink - Chronique Gwen Delmas - Dark Angel
Hello mon Cercle Amical, je vous invite aujourd’hui à lire ma chronique sur la duologie d’une voisine. Rencontré à Salon de la Provence durant le mois d’août 2022 et revu lors d’un repas que j’organisais en novembre2022.
Aujourd’hui je vous parle donc de « Dark Angel tome 1 - Bridgelight » ainsi que de « Dark Angel Tome 2 – Take me home » de Gwen Delmas édité chez les éditions Black Ink.
Résumé Amazon:
« Rockstar adulée, Theon Moon se méfie de tous ceux qui approchent de trop près ses secrets.
Ses yeux et son âme sont aussi sombres que ses chansons. Autour de lui, les ombres s’épaississent et menacent de l’engloutir.
Mickaela Perkins a un don pour aider les autres, et apporter bien-être et apaisement. Elle en a fait son métier, sa passion, comme une revanche sur son passé.
Il y a cinq ans, c'est la voix du taciturne et solitaire Theon Moon qui lui a donné l'énergie pour s'en sortir. Aussi, lorsque l'équipe de la star engage Mickaela pour prendre soin de lui, elle décèle là un signe un destin.
Entre ces deux êtres, l'attraction devient irrésistible mais menace de les conduire à leur perte.
Si garder le contrôle est primordial, le céder semble inéluctable.
Jusqu'où ira-t-elle pour le chanteur ? Quel risque est-il prêt à prendre pour celle qui l'obsède ? »
Extraits au hasard :
« Clairement pas assez pour échapper à son aura. Et dire que j’ai sincèrement cru que sa voix, ses mélodies tantôt lyriques, tantôt déchaînées, et ses paroles toujours si profondes, ne m’atteignaient plus !
La raison me hurle de m’enfuir. Tant pis pour ce travail. Tant pis pour tout ce qui se joue en cet instant. Il y a bien plus à préserver. L’armure d’indifférence que j’ai bâtie au prix d’efforts insensés depuis que les portes de Saint Andrews se sont ouvertes devant moi.
Mais tout le reste en moi s’y refuse. Parce que Theon, ou plutôt la satisfaction qu’il pourrait retirer de mon travail, est impératif. Ce n’est pas une question d’argent, ni même de réputation. Il se joue tellement plus ! Trop pour tout foutre en l’air pour cause de vapeurs. »
« Je bondis du lit sans même m’en rendre compte. Bien sûr, je reconnais la voix. C’est elle que j’aurais aimé entendre plus tôt.
Sans réfléchir ni à ma tenue ni à mes bonnes résolutions, je tourne le verrou.
Un bras appuyé au chambranle, le front posé dessus, Theon bouche aussitôt ma vue. Mon regard se heurte à son torse, moulé dans un simple tee-shirt et enveloppé dans son cuir.
Je remonte jusqu’à son visage.
Je ne sais pas quelle tête j’ai à cette heure, mais lui n’est pas brillant. Des cernes sombres accentuent la profondeur de son regard. La repousse de barbe le rend plus sauvage. Les mèches de cheveux indisciplinées lui donnent au contraire un air plus fragile. »
« Mes doigts ne m’obéissent plus. Ils jouent, notent accords et paroles, s’égarent sur le manche de ma Martin comme ils aimeraient jouer sur le corps de ma muse qui, à l’heure qu’il est, ne soupçonne certainement pas tout ce qu’elle m’inspire.
Tout ce que je voudrais lui dire, lui faire ressentir, je le glisse dans mes chansons. Déjà, j’ai largement réorienté la setlist de mes concerts comme autant de messages. L’idée m’en est venue le premier soir, lorsque j’ai joué Promise me en mode clin d’œil et qu’elle l’a compris ainsi. Les gars rigolent de ces changements. Ils se doutent de leurs causes. Je les soupçonne même de parier sur ma prochaine déclaration. Peu m’importe. Ils m’ont suivi dans toutes les heures, même les plus sombres, tel le garde-fou le plus solide, alors que je me comportais comme le pire des enfoirés. Ils méritent bien le droit de se foutre un peu de moi. »
C’est ainsi que je me plonge dans le prologue de cette œuvre de Gwen Delmas ou je fais connaissance avec « Mickaëla » protagoniste et narratrice de ce livre, enfermée dans un centre et face à Mike le docteur doit se justifier d’écouter l’album Fallen Angel de Theon Moon.
Puis la suite m’immerge 5 ans plus tard à Denver où Mike ( diminutif de Mickaëla) est sortie du centre et se retrouve à travailler dans la relaxation et le développement personnel et elle va rencontrer son nouveau client qui n’est autre que …. Theon Moon. Ceci étant dit, lors de la rencontre c’est un véritable quiproquo qui va se passer et la narratrice va s’en aller se sentant humiliée par le chanteur qui devient à son tour narrateur de l’histoire.
Évident le chanteur regrette profondément l’erreur qu’il a faite et pire que tout, cette fille a provoqué quelque chose en lui. Évidemment sa manager Kryssie est folle de rage sur l’attitude de Theon.
Toujours est-il qu’après ce premier contact orageux le lien être le chanteur et la naturopathe s’instaure petit à petit jusqu’à devenir un lien des plus mystiques.
La plume de l’auteure est fluide, elle sait jouer avec les mots pour transporter son lectorat exactement où elle le désire. Et que dire des scènes décrites qui me transporte dans ce stadium en train d’assister à se concert ou dans ce parc à pique-niquer avec eux ….
Je ne connaissais pas la talentueuse plume de Gwen Delmas MAIS je ne regrette absolument pas d’avoir eu envie de la découvrir sur cette duologie signé chez Black Ink.
Malgré leurs passé sombres respectifs. Ils semblent s’apprivoiser et faire naître la lumière à l’autre. Certes j’extrapole a cette heure ci de l’histoire mais j’en suis clairement convaincu.
Finalement un travail qui devait ne durer qu’une fois pour Mike, pourrait éterniser sur toute la tournée. Theon a besoin de sa présence à ses côtés pour dompter son âme sombre. Évidemment je ne vais pas vous dévoiler la suite des événements, ça serait spoiler cette histoire écrite d’une main de maître, enfin des doigts talentueux de Gwen Delmas MAIS je ne peux que vous conseiller de lire ce premier tome. Pour ma part je continue ma lecture…
Je m’aperçois durant ma lecture que j’ai une future nouvelle collègue blogueuse…. Voilà l’extrait confirmant mon propos :
« Je les écoute en silence, prise par les messages que j’échange avec ma sœur de cœur et les clichés que je réalise tout au long de la route pour ne rien perdre de ces paysages différents de ceux de Denver. La première me conseille de les compiler pour créer mon blog de tournée. Trente semaines et demie pour toucher la Lune, propose-t-elle. »
Il y a un court extrait que je vais retranscrire. Évidemment vous désirez en savoir la raison!
Simplement que si j’ai osé me plonger dans l’écriture c’était parce qu’un jour, une amie chère à mon cœur m’a dit: il faut que tu soignes tes maux par des mots. Voici donc l’extrait en question qui confirme ma confidence:
« J’ouvre la bouche. Allez, Mike. Rappelle-toi ce que soutenait cet abruti de Damon le psy. Mettre des mots sur ses maux, c’est le premier pas vers la guérison. C’est même l’une des seules choses dont je me souviens volontiers dans ses longs discours. »
Dans cette œuvre, l’auteure nous définit une fusion tellement forte, nous décrit l’osmose d’un homme et d’une femme que chaque être sur terre rêve de connaître, enfin devrais-je plutôt dire « SENTIR »… ce terme pourrait s’approcher MAIS en plus fort de l’âme-sœur ou l’alter-égo pour que vous compreniez bien mes propos.
Évidemment qu’à la fin du premier tome, ma seule et unique envie et de me plonger dans le tome 2 en l’occurrence « Dark Angel Take me home » mais avant cela, permettez-Moi de vous prévenir que dans la suite de ma chronique vous risquez de lire des spoils alors si vous ne désirez pas en savoir plus contentez vous de vous arrêtez là et plongez-vous dans la lecture du tome 1.
Venons-en donc à ce tome 2!
Résumé Amazon:
« Après un début de tournée chaotique, Theon et Mickaëla doivent se rendre à l’évidence. Les barrières qui les séparent sont bien moins solides que tous les ponts qui les mènent l’un à l’autre. À Dallas, les deux âmes blessées se retrouvent face à face, cœur à cœur. Pour donner une chance à leurs sentiments, elles n’ont plus le choix : admettre leurs blessures, avouer leurs fautes, laisser partir les fantômes qui les enchaînent toujours. Mais le passé n’est qu’un obstacle sur leur route. Les démons de l’un, les craintes de l’autre, les spectres d’un futur possible ne cessent de les mettre à l’épreuve. La conquête a été un défi de taille. Et si le plus dur commençait maintenant ? Dans l’obscurité ou la lumière, sur quelle note se conclura la dernière mélodie de Theon Moon ? »
Extraits au hasard :
« Theon se contente de m’enlacer avec force avant de saluer la compagnie.
La chambre qui lui est réservée n’est pas très éloignée. C’est heureux, je ne suis plus en état d’avancer bien loin. Theon s’efface pour me laisser entrer. Il tâtonne quelques instants avant d’éclairer la pièce de quelques lumières douces. Elles me dévoilent l’essentiel. Un vaste espace chaleureux. Dans un coin, comme partout où dort Theon, un piano et sa guitare l’attendent. Il ne leur accorde pas un regard. C’est sur moi que se concentre toute son attention.
La mienne est irrésistiblement attirée par un lit spacieux. Aucun risque d’y être à l’étroit.
C’est presque dommage. Cette nuit, je ne veux rien d’autre que le cocon de ses bras et la chaleur de son corps pour m’accompagner dans le sommeil.
Le sommeil ? Je passe d’un pied sur l’autre, gênée de rêver à des ébats fougueux après tant de confessions. Ce soir, c’est son âme qu’il m’a livrée. Mon corps attendra encore un peu.
Comme s’il lisait dans mes pensées, Theon murmure à mon oreille. »
« Le plaisir me fauche d’une salve de tremblements qui crépitent longtemps dans tous mes membres. Il me dévaste d’une explosion de sensualité bien insuffisante pour nous rassasier.
La nuit est riche en gémissements de jouissance, bien pauvre en sommeil. Lorsque, fidèle à sa promesse, Theon me réveille aux aurores pour partir à la chasse aux donuts, j’ai du mal à estimer le temps de repos que la passion nous a accordé.
Si j’en crois les cernes que me renvoie le miroir de la salle de bains, pas assez. Mon regard pétillant m’assure, pour sa part, que ce n’est pas très grave. Et je ne parle même pas du sourire paresseux de Theon par-dessus mon épaule, juste après y avoir déposé un baiser tendre. »
« Ma véhémence jette un froid autour de la table. Theon plonge son regard au fond du mien. Il cherche à me rassurer, j’en suis consciente, mais il ne comprend pas. C’est flagrant. Et ce que je lis dans ses onyx ne me plaît pas. Je le devine avant même qu’il reprenne la parole.
— Non.
— Non ?
Je m’étouffe à demi face à son détachement apparent. L’espace d’un battement de cils, je me demande s’il n’est pas de mèche avec le photographe avant de me gifler intérieurement. La panique me fait penser n’importe quoi. Theon déteste la pression médiatique et surtout, il ne me mettrait pas dans une telle position. Je lui ai dit déjà que je ne voulais pas être exposée. »
Me voici donc plongé dans ce second tome ou j’espère, pour ne rien vous cacher ( et pour ne pas avoir envie d’étriper l’auteure), de retrouver en haut de cet hôtel de 130 M les deux protagonistes du tome 1 en l’occurrence Mike et Theon. Si ce n’est pas le cas, Gwen déménage de mon sud de la France car je vais te traquer jusqu’à te chasser.
Oui je dois l’avouer, malgré qu’eux deux chauffent le chaud et le froid, je m’y suis franchement attaché à ces deux narrateurs la.
Bon alors Gwen, tu as de la chance! J’ai retrouvé Mike et Theon…( OUF), je suis soulagé.
Mis à part ça, la plume de l’auteure toujours aussi prenante, parfois même délicate et poétique dans le récit de moments charnels et torrides entre autre. Les mots choisis sont aucunement crus et c’est appréciable MAIS cela ne m’étonne même pas, Gwen Delmas a une réelle sensibilité, saupoudrée de timidité lorsque l’on fait sa connaissance.
Évidemment, un différent va mettre à mal le couple l’espacé d’une soirée au restaurant MAIS c’est sans compter sur l’amour qu’ils éprouvent l’un pour l’autre pour les réconcilier. Mike ne veut surtout pas perdre son objectif pour récupérer « Lee » sa fille.
Tandis que la tournée doit fait une escale au Canada, un événement assez brutal va mener Mike à découvrir une nouvelle facette de son homme en l’occurrence Theon. Pire encore lorsqu’il l’a rejette plusieurs jours durant. Pas évident pour Mike de se retrouver confronter à cette situation.
l’auteure sait habilement jouer avec les mots et réussit à capter son lectorat et le rendre Addict a cette histoire.
S’il y a un chapitre totalement bluffant. Touchant et tellement réaliste que je m’y suis cru sur « La grande roue de Santa Monica Pier »…
Alors que tout semble aller pour le mieux dans la vie de Mike et Theon avec comme seule ombre à la vie de rêve, Lee la fille de notre protagoniste, un combat va être lancé pour que notre narratrice puisse obtenir la garde de sa fille. Et c’est là que les choses vont mal tourner. Évidemment je n’en dirais pas plus pour ne rien spoiler MAIS je vous invite a vous plonger dans cette duologie « Dark Angel » de Gwen Delmas, vous allez adorer !
Va-t-elle obtenir la garde de Lee?… Va-t-elle retrouver Theon?… Vont-ils s’aimer et vivre enfin une belle histoire sans problème?…
Toujours est-il que cette histoire m’a percuté. J’ai adoré l’écriture de Gwen, j’ai adoré souffrir et pleurer ( oui un homme ça pleure aussi), dans des moments durs décrit si merveilleusement par l’auteure et que dire de cette fin si prenante, si touchante pleine d’émotion. Je vous invite à lire cette duologie vous allez sincèrement adorer.
Qu'avez-vous fait il y a 30ans le mercredi 26 mai 1993? ...
Un jour spécial qui a changé la vie de milliers de personnes. En effet, la majeure partie des marseillais et habitants de la région PACA peuvent vous dire que faisaient-ils le mercredi 26 mai 1993.
Pour ma part, ce jour là à commencé la veille au soir. 20H00 exactement lorsque du parking d’une supérette à Saint Chamas, je prenais le bus pour 12h00 de route en direction de la capitale de La Bavière. Munich plus exactement.
Pour la petite anecdote, j’avais eu un accident quelques semaines auparavant et j’avais le plâtre, je marchais déjà avec des béquilles à ce moment-la. Évidemment les autorités allemandes avaient refusé. Ça ne m’avait pas empêché de visiter une taverne à ciel ouvert pour manger une excellente choucroute accompagnée de quelques bières avec des tifosis milanais.
C’est alors qu’en milieu d’après-midi, je découvrais « l’Olympiastadium Munchen » ou en français le stade Olympique de Munich. Un magnifique stade pour un jour, enfin plutôt un soir inoubliable. La preuve 30 ans après, j’ai encore en mémoire ce voyage en terre bavaroise avec mes amis Ultras section Saint Chamas.
Toute la France avait les yeux rivés sur Munich ce soir là, les télévisions avaient organisées des émissions en direct du stade, y compris Christophe Dechavanne qui, pour l’occasion avait son plateau de « coucou c’est nous » en plein cœur des tribunes marseillaises avec comme invité « Enrico Macias », supporters du PSG ( je vous passe les détails de son accueil).
Toujours est-il qu’une tension palpable sur ce stade était ressenti par les 26 000 supporters de l’OM, le cœur battait sir fort avant le coup d’envoi malgré les chants que nous échangions avec les tifosis milanais en rouge et noir.
A 20h00 tapante, résonnait l’hymne de la célèbre ligue des champions. La petite équipe de L’Olympique de Marseille avait 90 minutes pour vaincre le TRÈS GRAND Milan AC.
Un match tendu jusqu’à la 42ème minutes ou Basile Boli sur un centre d’Abedi Pelé, propulsait une majestueuse tête qui finissait dans les filets du géant gardien du Milan Ac, Sebastiano Rossi. L’histoire était en marche.
En seconde mi-temps, Jean Pierre Papin rentrait pour renforcer l’équipe milanaise mais ça ne suffisait pas pour égaliser ou même menait au score et aux alentours de 22H15, l’Olympique de Marseille devenait Champions d’Europe des clubs champions.
Le premier club français à gagner, et le seul encore à ce jour, à avoir gagné cette prestigieuse coupe d’Europe. Quelle fierté pour le peuple marseillais MAIS aussi pour mon ami, le parrain de Joy ma fille, qui lui s’est vu couronné d’une photo, qui 30 ans après fait encore parler d’elle, d’ailleurs voici son histoire !
Je profite de l’occasion pour te remercier Mon Ami, pour m’avoir offerte cette immense chance d’utiliser cette fameuse photo MAIS aussi de t’avoir un jour rencontré pour entendre la merveilleuse histoire de ta présence à Munich.
C’est avec une nostalgie immense, les larmes aux yeux que je vous invite dans cet inoubliable souvenir.
Lettre de Jean Paul Olive Mon AMI et Parrain de Joy Ma fille écrit en 2018
LE BUT DE BASILE.
Olympiastadion Munich 26 mai 1993
Finale Coupe d'Europe de Football Olympique de Marseille Milan AC.
Pour Cyril de Canal TV. Avec la gentillesse de Pédro Lima.
Au matin du 26 mai, je suis monté à Notre Dame de la Garde avec des centaines de supporter qui allaient prier pour que l'OM gagne la Coupe d'Europe le soir même en Allemagne. J'étais photo-journaliste et « la couverture » de l'événement commençait là.
Dans la foulée, je me suis engouffré dans la Gare St Charles pour continuer à « shooter » les trains en partance pour Munich, bondés des mêmes supporters. J'ai pris le train avec eux et ne les ai jamais quitté des yeux ! J'étais en immersion.
Arrivés au stade, avec mes potes photographes et journalistes nous sommes allés chercher nos chasubles prêtés pas l'UEFA. Puis direction la pelouse à J-1heure du coup d'envoi. Enfin pas pour tout le monde : à ce moment précis je décide de « faire » la 1ère mi-temps dans le cop marseillais, en surplomb de la cage de Sébastiano Rossi, le gardien milanais.
Les copains me traitent de fou en prétextant qu'un match comme ça il fallait le vivre sur le terrain. Ils avaient raison d'autant que je n'étais pas un photographe sportif, et, qu'en plus, jamais je n'aurais imaginé « couvrir » une finale C1. Et je leur lance : « on va gagner 1 à zéro, but de l'OM en première mi-temps ». Donc acte !
Placé pile dans l'axe de la cage, la caméra d'un technicien allemand est derrière moi. Le type n'arrête pas de gueuler dan son micro-relais avec sa régie : rien ne fonctionne pour lui ! Bien sûr on est entouré que de marseillais ! Je découvrirai beaucoup plus tard que le but de Basile n'a jamais été filmé de cet angle ! Of course !
Il ne me restait plus qu'à attendre la 44ème minute, corner d'Abédi Pelé et tête magique de Basile.
Armé de mon appareil, clic clac c'était dans la boîte ! À ce moment précis, je me souviens avoir enroué mon film pas terminé et mis dans ma poche pour plus de sécurité. Je « tape » quelques photos d'ambiance et je descends à la mi-temps sur le terrain rejoindre mes copains. On rigole bien du pronostic que j'avais formulé deux heures avant. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je me suis mis à égrainer les minutes qui nous rapprochaient de la fin du match comme si pour moi le match était « plié » . Lorsqu'on repasse la finale, le match fut vraiment plié à la 44ème minute.
Le lendemain au Sofitel-Vieux-Port, j'ai vendu la photo à Paris-Match. Patrick Mahé son rédacteur en chef m'a fait un chèque de 1600€.
Épilogue : la photo maudite.
Match n'a jamais publié la photo, le reportage sportif dans ses pages prit une tournure plus glamour. En même temps le magazine court -circuitait VSD qui était sur les rang aussi et sortait également en kiosque le mercredi. Je ne connaissais pas ces méthodes rédactionnelles.
Il y a eu une parution dans la PQR en première page couleur, à mon insu et non payée : procès gagné 3 ans après en appel.
Après l'affaire VA-OM mes ambitions de faire un livre avec Bernard Tapie se sont envolées...... À cette époque il m'avait écrit être intéressé par mon travail.
La photo n'a jamais été utilisée dans les médias. Pour le 20ème anniversaire de la coupe (2013), j'ai offert le poster à la rédaction de la Provence (Olivier Mazerolle)- silence radio.
Un poster a aussi été donné au président de l'époque Vincent Labrune : no comment !
J'ai envoyé une fichier numérique à Pape Diouf et Didier Deschamps : pas de retours.
À ce jour, seul le Président de la République Emmanuel Macron m'a envoyé ses mots :
« Formidable image , merci à vous ! »
Nb : j'ai envoyé le poster à l'Élysée après avoir vu le Président au centre d'entrainement Robert-Louis Dreyfus avec les joueurs de l'OM le 15 août 2017.
jean paul olive le 2 avril 2018
Spécial Black Ink - Robyne Max CHavalan nous invite dans les bras de Morphée!
Bonjour à toutes et tous, aujourd’hui je viens vous entretenir sur l’un des derniers livres de mon auteure « Chouchou ». Évidemment nous sommes en plein cœur de mon SPÉCIAL Black Ink, vous vous doutez bien que c’est ton une auteure de la maison d’édition de Sarah.
Bref, assez de mystère, je vais vous parler du livre « Dans les bras de Morphée » de Robyne Max Chavalan.
D’ailleurs parce que je suis un blogueur curieux, Robyne je souhaite que tu me parles de ce livre, combien de temps as tu mis pour l’écrire?
Bonjour Jean Frédéric. Merci pour ce beau retour et cette belle mise en avant. Alors pour répondre à ta première question, j’ai mis quatre longues années pour écrire Morphée. Le problème n’était pas l’histoire en soi, mais plutôt toutes les recherches que j’ai dû faire pour être crédible dans ce genre.
Ou as-tu trouvé l’inspiration?
Les recherches encore une fois m’ont donné énormément de matière pour une histoire qui au début était très simple. Une recherche en entraînant une autre, j’ai découvert ou redécouvert une multitude de choses qui m’ont permis d’étoffer mon histoire, ses personnages et les rebondissements entre eux.
Qu’est ce qui t a donné l’idée ?…
L’idée de ce livre m’est venue au cours d’une visite de Paris à pied sous le prisme de l’érotisme (Paris Zig Zag : Le Paris érotique au XIXème). Le concept est de faire une promenade guidée de Paris pour visiter les grands lieux associés au thème. Dans ce cas, nous avons visité les rues des anciennes maisons closes, vu même certains immeubles existants encore, appris foule d’anecdotes liées aux célébrités et aux courtisanes de l’époque… J’ai adoré et surkiffé tout ce que j’y ai appris. Et voilà, Morphée était née dans mon esprit.
Résumé Amazon :
« 1858. Appolonie de Mirancourt, la superbe fille du directeur du Louvre est courtisée ardemment par le beau et charismatique Arkadi, comte Leonidov. Deux ans plus tard. Appolonie, désormais comtesse Leonidova, se rebelle. En effet, dans le Paris des Lumières coquin, son mari, celui que l’on surnomme le Lion vagabond de Russie, agit comme tous les autres hommes de sa condition et la délaisse au profit des maisons closes... Appolonie ne peut ni l’accepter ni le supporter. Elle n’a qu’une idée en tête : le reconquérir. Et si pour cela, elle doit devenir courtisane pour qu’il la remarque, alors qu’à cela ne tienne ! Sous les traits de Morphée, demi-mondaine au masque de papillon mystérieux, elle va enflammer l’imagination des uns et déchaîner la passion des autres. Ce qu’elle n’avait pas prévu ? Être prise au piège de ses propres fantasmes et désirs. Entre désillusion et découverte de sa sensualité, elle devra composer aussi avec le poids des convenances de la bonne société. Femme convoitée dans un univers d’hommes avides de vengeance, Appolonie pourrait perdre bien plus que ce qu’elle pensait. Tout a un prix dans les bas-fonds de Paris. Surtout celui de la liberté d’aimer. »
Extraits au hasard :
« Cet état d’esprit batailleur convenant beaucoup mieux à mon tempérament, je me jette à corps perdu dans les préparatifs du mariage. J’accompagne ma mère et Marie partout où il le faut, gardant toujours en mémoire les avertissements d’Arkadi. Au fond, ce n’est guère compliqué de m’en souvenir, Roman, son secrétaire particulier, n’étant jamais très loin.
Nombreuses sont les fois où je le fixe d’un œil noir. Je n’ignore pas qu’au moindre faux pas de ma part, il ira le colporter à son maître. Je comprends bien que, tout comme j’ai un rôle que la société m’a dévolu, Roman a le sien à tenir.
Ce n’est pas pour autant que cela me plaît. Mais, je dois feindre. Au fond, j’espère que mon mariage me délivrera de tous ces faux-semblants.
J’ai peut-être tort de raisonner ainsi, mais si je me mets à opérer d’une autre façon, je serai alors capable de rompre les fiançailles. Or, c’est désormais impossible. »
« Mon mari est soucieux de moi à sa façon. Il n’y a pas un matin où il ne met pas un point d’honneur à prendre son petit déjeuner avec moi et à s’enquérir de ma santé. Pas un dîner non plus qu’il ne passe pas en ma compagnie en m’écoutant parler des dernières œuvres reçues au musée. Arkadi ne se lasse jamais de m’entendre discourir des heures sur tel vase grec ou telle autre poterie perse… Quelques rares fois, il partage avec moi son expertise ou me raconte ses voyages dans les pays d’orient comme la Chine ou l’Inde. »
« Elle est la différence dans un monde d’uniformité. La fleur sauvage dans le parterre bien travaillé. Elle est une créature indomptable et rebelle à l’autorité qui reste à la lisière de mon esprit, comme un rappel constant qu’il fut un temps, je possédais encore une conscience…
Je la retiens par le bras et la tire violemment vers moi. Mes lèvres s’abattent sur les siennes alors qu’elle crie de douleur. Mais dans la brume courroucée qui est la mienne à cette seconde, je ne réfléchis plus à rien.
Je veux juste qu’elle se soumette. Comme une bonne épouse le ferait.
Au lieu de quoi, Appolonie ne résiste pas et s’immobilise totalement jusqu’à devenir une simple poupée de chiffon contre moi. »
Évidemment je lis docilement l’avant propos ou l’auteure nous explique les raisons de l’écriture de ce livre. Nous rappelant les principes de la vie au XIXe siècle pour les femmes.
Ceci étant lu. Je me plonge de mon plein gré dans la lecture « Dans les bras de Morphée » et je vais donc faire connaissance avec non pas la protagoniste comme j’ai l’habitude de te le dire MAIS l’héroïne dans ce contexte la, celle que Robyne a créer.
Dès le début de ma lecture, le prologue me fait faire un voyage dans le passé étant donné que je suis plongé dans le Paris de 1860…
L’Héroïne triste, désolée et pire même frustrée dans sa vie de couple veut je la cite :
« Je veux être de ces femmes-là. Celles que l’on dit de mauvaises mœurs. »
Dois je oser dire que c’est ainsi que je les préfère les femmes ?( sourires quel homme n’est pas de mon avis sincèrement ?)…
Toujours au début du livre, elle nous décrit son mari employant les adjectifs solitaire, secret. Dévoilant son passé trouble et ses paradoxes tel qu’il peut être, parfois froid et cruel ou tout au contraire charmant et attentionné. Toujours est-il qu’elle ose l’avouer haut et fort, elle l’aime et nous annonce à la fin du prologue un programme des plus alléchants je la cite :
« Je m’appelle Appolonie Yourevitch Leonidova et voici comment je suis devenue Morphée, la plus célèbre et mystérieuse courtisane de Paris et voici comment j’ai séduit mon mari. »
En lisant les adjectifs « impulsive », « rebelle », je sais déjà que je vais l’adorer l’héroïne, surtout lorsque je lis selon ses propos:
« Je refuse que la société me dicte ma conduite. »
Ce livre est écrit à la première personne et j’avoue apprécier cela. La lecture de Robyne, je l’encense car tout simplement je l’adore, ceci étant dit, elle est talentueuse, fluide et addictive pour ma part.
Finalement je constate que ce livre est écrit à deux voix. En l’occurrence celle d’Appolonie et celle de Arkadi. Ils se rencontrent dans un restaurant.
Pour celles et ceux qui connaisse mon affection particulière pour Paris, alors que je suis un fervent Sudiste amoureux de son coin de France, je vais vous retranscrire un court extrait du livre pour que vous compreniez mieux :
« La capitale française est connue pour être avant tout la ville de l’amour, de l’érotisme et du vice. »
En tout cas, l’héroïne se retrouve à jouer la voyeuse devant une scène qui va pour ainsi dire la déstabiliser et je profite de l’occasion pour vanter la plume de l’auteure, qui s’en être vulgaire reste explicite et immerge le lecteur que je suis dans la scène décrite.
Toujours dans ma lecture, j’apprends les raisons bien précises, évidemment que je ne vous dévoilerais pas, de la présence dans la capitale de Arkadi. Ceci étant dit, Robyne ne distille que très peu d’informations à ce sujet pour l’instant.
Une fois sa proie appâtée, Morphée peut agir, certes elle ne se rendait pas compte de sa mascarade, jouant entre son mari et le cousin de celui-ci. Comme elle ne savait pas non plus quel était le vrai visage de la Païva. Comment va-t-elle réussir à parvenir à ses fins, dans ce mystère qu’elle a créé pour faire en sorte que son mari l’aime quant qu’elle ?… une reconquête qui va s’avérer complexe et particulière pour Appolonie…
Ne dit-on pas pour conclure cette chronique que finalement l’amour est plus fort que tout?… Certes dans cette œuvre il se décline de tellement de manière MAIS la force du sentiment réuni les deux êtres….
Je tiens à remercier Robyne Max Chavalan pour ce livre « Dans les bras de Morphée » que j’ai dévoré…
Tu restes mon Amie Ma chouchou Auteure n’en doute pas et je te remercie une nouvelle fois vis à vis des notes de l’auteure ou je garderai simplement ton conseil de goûter à la Vodka ( sourires )…
Alors dites Moi tout, qui l’a lu ou à l’intention de le lire ?…
Spécial Black Ink - Ange Edmon se découvre !
Hello Ange, tout d’abord sache que je suis heureux de te recevoir, ici même sur mon « Blog ». Alors, venons-en au fait ! Installe-toi confortablement, permets-moi de t’offrir, un café, un thé peut-être ou préfères-tu un mojito ?
Un café, c’est bien ☺️
Bien, alors Ange, je vais être curieux, mais je suppose que tu t’en doutes bien étant donné que tu as accepté cette entrevue. Tu es une fille, auteure, lectrice, sans oublier que professionnellement tu as un travail prenant et une famille. Donc, l’une de mes premières questions en quelques mots, qui est Ange Edmon ?
D’une part, mon métier n’est plus aussi prenant. Pour le reste, j’alterne, je ne suis pas différente des autres femmes. D’autre part, j’ai une famille tolérante quant au temps que me prend l’écriture.
Comment fais-tu pour tout conjuguer ?
Avec un mari en or.
Je vais me pencher plus vers ton activité d’auteure si tu me le permets : quel est le cadre idéal ou tu aimes écrire ?
Sur mon canapé, devant la télé, souvent la nuit. Sinon partout du moment où j’ai de la musique dans les oreilles.
Même si je suis conscient que les auteur(e)s se servent de leurs vies pour écrire, je désire en découvrir plus sur tes sources d’inspirations, quelles sont-elles ?
Alors. Non hein. Pas en ce qui me concerne. Je me sers de tout et tous ce(ceux) qui m’entoure(nt). Heureusement que je n’ai pas vécu tout ce que j’écris 😅😅
Qu’oserais-tu dire à des lectrices et lecteurs potentiels qui n’ont pas encore eu la chance de te lire ?
Houla. Je suis la pire personne à qui demander ça. Je ne sais pas me vendre 🙈. Peut-être d’en tenter un ?
(J’espère ceci-dit que mon retour au sujet de ta duologie et ton Spin-off en l’occurrence « Le silence des mots et Gary » publié sur mon blog va déjà donner aux lectrices et lecteurs l’envie de te lire).
Si tu avais le choix d’un ou une auteur(e) pour un quatre mains, qui choisirais-tu ?
Déjà fait avec Emma Landas ☺️
Pourrais-tu me parler de tes livres déjà écrits ?
Le silence des mots T1
Le silence des mots T2
Gary
Corps-Accords
En nos troubles
Little Odessa
Little Italy
Intimes ennemis
Clap sur Aspen (4 mains avec Emma Landas)
Tant d’aime (déjà sorti en numérique, et en broché le 14/15/16 juillet au FBI. Les précommandes sont déjà ouvertes sur le site de Black Ink.
Ton tout premier manuscrit finis ?
Le silence des mots
Tu es auto éditée ou en Maison d’édition et pourquoi un tel choix ?
J’ai été auto-éditée au tout début persuadée que me écrits ne plaisaient pas (moi aussi j’ai essuyé des refus). Être juge et partie ne me satisfait pas non plus, sans compter qu’il faut aussi corriger, le mettre en page, l’illustrer et le mettre en avant. Il n’y a pas mieux qu’une ME, digne de ce nom, pour gérer tout ça. De plus, j’ai eu un sacré coup de cœur pour Black Ink et son éditrice 😅
Passons à l’aspect lectrice. Comment choisis-tu tes lectures ? Quels sont tes styles de prédilections ?
Ça va aller super vite. Je ne lis plus. Pas quand j’écris, et j’écris tout le temps.
Ton auteur(e) favori(e) ? (Des raisons évidentes à ton jugement …)
J’adore Emma Landas parce que faire rire une ou un lecteur est un art bien difficile. Leni Arekin pour son côté thriller, flingué et fou. M. Connelly que j’ai bcp lu avant.
Le tout premier livre que tu as lu, c’était quoi ?
Qui m’a le plus marqué alors « qu’elle était verte ma vallée »
Ton coup de foudre littéraire ? Le livre qui t’a le plus bouleversé ? (Les raisons à cela)
The Missing Obsession de Leni-Angel Arekin. Pourquoi ? Lisez le !
Pour nourrir ma curiosité, j’aimerais aussi te demander si tu regardes la télévision, des séries peut-être ou des films, dis-moi tout ?
Des chaînes documentaires. Quelques films avec mon mari mais non, pas de séries.
Et la musique dans ta vie, a-t-elle une place ? Tes goûts …
Oui, j’en écoute beaucoup et je suis très éclectique. Pas de classique, pas de rap, pas de djul ni de Aya Nakamura. J’aime U2, Goldman, le latino, imagine dragons, les 80’s, etc, etc…
Voilà, nous arrivons bientôt à la fin de cet entretien MAIS, serait-il possible que tu glisses les liens ou l’on peut te découvrir ?
https://www.amazon.fr/s?i=digital-text&rh=p_27%3AAnge+Edmon&s=relevancerank&text=Ange+Edmon&ref=dp_byline_sr_ebooks_1
https://blackinkeditions.com
Sans oublier de t’interroger sur mon blog, comment trouves-tu mon idée ?
C’est un boulot de fou d’animer un blog. Alors bravo.
Où va-t-on avoir la chance de te croiser en salon cette année 2023 ?
Au FBI en juillet
Dreambooks en octobre
Niort en novembre
Et enfin quels sont tes vœux et résolutions pour l’année 2023 ?
Aucun. Je n’attends jamais rien. ☺️
Ange, je te remercie profondément de m’avoir accordé ce temps, même si je sais vu tout ce que tu fais, qu’il t’en manque. Aux plaisirs de se revoir bientôt.
Merci à toi. Pareillement.
Spécial Black Ink - Chronique Le Silence des mots et Gary par Ange Admon
J’avais lu ces trois livres en 2022, mais je ne publies qu’aujourd’hui cette chronique. dans le SPECIAL BLACK INK
Je viens donc ici même vous parler d’une duologie et d’un spin-off, celui d’une auteure « talentueuse », j’ose le dire. Une femme gentille, simple avec un caractère me faisant étrangement penser à l’une des personnages de ces œuvres.
Le silence des mots, Gary, d’Ange Edmon aux éditions Black Ink.
Résumé :
Laïana, jeune pédopsychiatre surdouée, intègre l'institut "Words for Ills" où elle compte bien mettre en application ses méthodes peu conventionnelles.
Elle se heurte immédiatement à Nils, juge pour enfants mais également businessman. Glacial, arrogant mais définitivement sexy.
Il a fait de cet institut un refuge pour ses petits protégés.
Leur point commun ? Le bien-être des enfants.
Leurs différences ? Tout le reste.
La guerre est déclarée, les stratégies se mettent en place, mais qui arrivera à conquérir l'autre ?
Entre une jeune femme en quête de stabilité et un séducteur désabusé, jalousies et affrontements rythment ce duel explosif.
Extraits : (j’ai choisi volontairement que des passages du tome 1, pour être certain de ne rien spoiler).
… « Cette nana ne me lâche plus la grappe depuis que j’ai eu le malheur d’avoir eu une aventure avec elle. Aventure d’une nuit, mais qui a eu la mauvaise idée de lui faire croire tout et n’importe quoi. Je ne suis pas ce genre de mec. Les histoires d’amour, le romantisme et les dîners aux chandelles, ce n’est pas pour moi. Donner son affection finit toujours par vous détruire, je l’ai appris très jeune et ne veux plus en faire l’amère expérience. »…
… « Ce repli sur soi est juste humain, un processus logique pour votre cœur, votre corps et votre esprit. La douleur, qu’elle soit physique ou morale, est insidieuse, elle se glisse en vous, sans jamais vous lâcher. »…
…« Oui, bon d’accord, il ne le sait pas, mais c’est quand même lui qui est allongé là, pas moi. C’est quand même lui le plus mal en point. Son visage, bien qu’exténué, n’a rien perdu de sa beauté. C’est un délit, ou du moins ça le devrait, d’être aussi beau ou de posséder autant de sex-appeal. Ce qu’il dégage, si je fais abstraction de son arrogance ou son trop-plein d’assurance, n’a pas d’adjectif assez fort. Je me perds dans l’azur de ses yeux quand il me fixe à nouveau. Je ne veux pas, je ne peux pas lâcher son regard, j’ai trop souffert de ce visage si paisible quand il luttait contre la mort. Il me serre la main, avec une tendresse que je ne lui connais pas, comme pour me dire qu’il est bien là, et qu’il a vaincu »…
Ma lecture a été prenante, addictive, j’ai dévoré ces livres en à peine quelques jours. J’en voulais plus, encore plus.
La plume de l’auteure est fluide, touchante. Des personnages auxquels l’on ne peut que s’attacher, qui vont nous faire rire, pleurer, angoisser, tout au long de cette belle romance, d’ailleurs que dire aussi des caractères bien trempés de ceux-là. Et enfin que dire des enfants de la fondation « Words for ills ». Je conclurai simplement en disant qu’après ma lecture, j’aime encore plus ma fille.
Les nombreux dialogues immergent encore plus dans les scènes, Ange les maitrise à la perfection.
J’ai, même si cette duologie et ce spinoff sont des coups de cœurs, un vrai regret dans cette histoire. Ça se passe aux States, soit j’aime voyager, mais je suis un véritable amoureux de mon pays natal, la France.
Venons-en à Gary, toujours édité chez Black Ink, que l’on croise fort régulièrement dans les deux tomes du silence des mots. Ce spinoff se passe un an après la fin du second tome.
Résumé
L’ouragan Ireland Mc Allister revient balayer le quotidien de Gary après un an d’absence.
Sous l’apparence impassible de la jeune femme se cachent des blessures encore à vif. Le beau tatoué est loin de la laisser indifférente, mais plutôt crever que l’avouer.
Lui est irrésistiblement attiré par elle, mais habitué aux relations éphémères, il tente de se convaincre qu’une nuit devrait suffire à chasser cette obsession.
Gary et Ireland sont comme le feu et la glace : incompatibles en surface, chacun perturbant l’équilibre de l’autre. Mais qui du brûlant architecte ou de la glaciale décoratrice aura le dessus ?
Extraits :
…« J’essaie de comprendre comment fonctionne ce mec. Je me risque à plonger dans les abysses de ses iris sombres, sans vouloir m’y perdre définitivement. Il est dangereux, j’en ai conscience depuis le départ. Depuis cette soirée où il s’est invité dans ma danse, où mon corps n’a fait que répondre au sien. Depuis cet instant où nos prunelles se sont comme reconnues. »…
…« Chacun de ses tatouages m’offre une histoire, chacune de ses caresses une trêve. Nos yeux se clouent l’un à l’autre quand je m’empale sur son érection, je descends lentement avant de remonter, puis de redescendre plus bas encore. Mon souffle se coupe quand Gary se cambre sauvagement et atteint ce quelque chose au fond de moi, à deux coups de me mettre échec et mat. Je redresse mon dos, arque mes reins, et appuie mes deux paumes sur son torse pour entamer une danse que je connais très bien, mais que je ne chorégraphie correctement qu’avec Gary Harper. »…
…« Elle relève la tête avec prudence, sa main encore luisante de ce qu’elle vient de m’étaler sur le ventre, mais elle ne dit rien. Je ne sais pas ce qu’elle a appliqué sur mes abdos, ce que je retiens, c’est que ça pue, et que son toucher me rend toujours aussi dingue. Comme son caractère. Comme elle. — Excuses acceptées, chuchoté-je en frôlant ses lèvres sans les toucher. Elle ferme les yeux, anticipant un baiser que je lui refuse. Elle m’emmerde copieusement. Elle et ses défenses, elle et sa peur ou sa fuite du bonheur. Elle et son incapacité à se laisser aller. Elle rouvre les yeux et me fusille de son regard noir en passant. »…
Évidemment nous reconnaissons la plume de l’auteur, plus audacieuse encore. L’histoire gravite autour de l’environnement des deux tomes du silence des mots et l’on découvre deux personnages, disons pour ne pas dévoiler grand-chose, assez haut en couleurs et aux caractères bien trempés.
Je ne regrette pas ma lecture de ce spinoff et je remercie l’auteure de l’avoir écrit.
Ah oui de nombreux passages grandement érotique ou Ange a réussi à nous plonger, et j’ai pu à loisirs nourrir ma nature très voyeuse et j’ai énormément apprécié. Ceci-étant dit, rien n’est vulgaire, ni cru juste érotique.
J’ai hâte de me replonger dans le nouveau de Ange lorsque j’en aurais l’occasion.
Spécial Black Ink - Sarah Nous parle du FBI
Bonjour Sarah, je suis tellement content de te recevoir à nouveau ici même pour discuter du second FBI – Festival Black Ink qui va avoir lieu une nouvelle fois cette année MAIS avant cela, peut-être peux-tu me faire un petit récapitulatif de celui de l’an dernier ?
Bonjour, Frédéric, c’est un plaisir pour moi aussi. Je prends donc une pause dans le tourbillon de l’organisation du festival pour papoter un peu avec toi
La première édition fut fabuleuse et au-delà de nos espérances. Une année de travail pour offrir à nos lectrices un festival 100% romance, 100% Black Ink et surtout 100% pour elles.
Je vais t’avouer un secret, il n’était pas prévu de faire une édition 2 dès 2023, tant l’évènement est difficile à organiser et couteux. Mais à peine les portes de la première édition refermées, la décision était prise : impossible de ne pas remettre cela en 2023. Le challenge : faire au moins aussi bien.
Mon équipe, sans qui je ne peux rien réaliser, a vécu Festival au rythme de l’année. Je tiens à faire un big-up à Juliette Pierce, Emma Landas, Chloé Celton et Diboux James pour le travail incroyable fourni tout au long de l’année. Nous avons eu des moments de doute, des réunions à n’en plus finir, des nuits d’insomnie, des kilomètres d’heures de travail mais le résultat était à la hauteur de nos attentes et je crois, de celles des lectrices.
En quelques chiffres l’édition 2022 ce sont près de 500 lectrices, des milliers de livres vendus et des moments de partages inoubliables.
Bien, venons-en donc à celui de cette année.
Alors tout d’abord les dates ?
Les 14, 15 & 16 juillet 2023
Le lieu ?
L’espace Encan à La rochelle, sur le port de la plus belle ville de France
Les auteur(e)s déjà annoncés ?
La plupart des auteurs sont déjà annoncés et nos lectrices auront le plaisir de retrouver par exemple : Manon Donaldson, Emma Landas, Ange Edmon, Angel Arekin, Anna Triss, Farah Anah, Chlore Smys, Juliette Pierce et bien d’autres encore. Je t’invite à aller sur le site du festival : festivalblackinkeditions.com afin de consulter la liste complète.
Les Animations prévus ?
Nous démarrons les festivités dès le 14 juillet avec l’ouverture du festival et son inauguration. Nous avons déjà annoncé un karaoké, un cocktail de bienvenue avec les auteurs, une incroyable chasse aux livres organisée par nos partenaires presse et d’autres surprises à venir.
Nos auteurs seront disponibles pour dédicacer tout le week-end (sauf vendredi) et nous allons ponctuer tout cela avec des master-class, des ateliers : maquillage, nail art, tatouages, photobooth.
Un petit déjeuner est offert à nos lectrices le dimanche matin, en compagnie des auteurs toujours pour un moment convivial.
Et la soirée, peux-tu en parler, pour donner l’eau à la bouche ?
Ah la soirée ! Le point d’orgue de ce festival. Nous la démarrerons avec un show de pole dance et nous proposons à nouveau à nos lectrices un diner raffiné. La traditionnelle cérémonie des Black Awards et un incroyable dj pour nous faire danser une partie de la nuit.
Le dress code cette année : en rouge et noir
Je suppose qu’il va y avoir des exclusivités pour Le FBI 2023 ? Combien ? et à partir de quand les pré-commandes ?
Il y aura 14 exclus ainsi qu’une intégrale avec tirage limité et nous ouvrons le bal des précos mi-mai.
Et des goodies peut-être ?
Bien-sûr et chaque année, nous essayons de nous renouveler. La gourde a été victime de son succès l’an dernier et en rupture de stock dès le vendredi. Elle fera son retour cette année ainsi qu’un superbe carnet de dédicaces. Les goodies sont en vente uniquement lors du festival, ils ne pourront malheureusement pas être commandés pour expédition.
Je suppose qu’hormis les exclusivités et les nouveautés, l’on pourra se procurer une majeure partie des livres du catalogue Black Ink ?
Tous les titres des auteurs présents seront disponibles à la librairie du festival en effet : brochés et poches.
Une manifestation telle que celle-ci ne s’organise pas toute seule, je suppose que tu as une équipe derrière toi, peux-tu nous en parler ? (Avant et au moment du montage du festival).
Tu as raison, ce type d’évènement ne s’organise pas tout seul. Il y a en première ligne mon équipe citée au début de l’interview et ensuite tous les intervenants. Cela va du régisseur de l’espace Encan, en passant par nos partenaires presse, et l’indispensable Vincent Gardrat, notre imprimeur.
Cette année, nous avons fait appel aux lectrices pour un coup de pouce tout au long du festival. L’idée étant surtout de leur montrer les coulisses d’un tel évènement.
La logistique d’après festival est une usine à gaz, imagine-toi des milliers de livres à expédier en plus de ceux vendus sur place… Les regrouper par titre, par dédicace, afin de satisfaire toutes les lectrices qui n’ont pas pu être présentes. Malgré la fatigue du week-end, nous mettrons tout en œuvre pour leur envoyer au plus vite les livres. La magie du festival perdure.
Et bien sûr, j’envoie des tonnes d’amour et de remerciements à nos familles qui seront présentes une fois encore et sans qui tout cela ne serait pas possible non plus.
As-tu des partenaires ?
Oui, et cette année une grosse surprise attend nos lectrices. Voilà 2 ans que nous espérions pouvoir leur proposer un stand d’écoute audio, ce sera chose faite pour cette deuxième édition du festival grâce à notre partenaire Storytel.
Nous sommes aussi à nouveau accompagnées par nos diffuseurs (Immateriel et Myosiris) ainsi que notre imprimeur imprimerie de la sèvre.
Hormis au FBI, aurons-nous la chance de croiser la famille Black Ink quelque part en 2023 ?
Nous allons en effet nous déplacer en 2023.
Dreamsbooks à plessis-Belleville (60) les 9 & 10 septembre
Niort (79) les 23 & 24 septembre
Mons livres en novembre si notre demande est validée
Peux-tu nous rappeler les liens ou l’on peut découvrir la Maison d’Edition et ses livres ?
Nous sommes présents sur les principaux réseaux : Facebook, Instagram, Tiktok
En tout cas, je dois t’avouer que je suis heureux de t’interviewer Sarah, d’ailleurs j’aime assez l’idée que j’ai eu de faire un Spécial Black Ink sur mon blog. Certes je n’avais que l’embarra du choix dans les livres à lire, j’ai fait le choix de quelques-uns, et je vais te demander de fouiller dans tes souvenirs pour que tu m’en parle ?
D’abord Ange Edmon avec sa duologie « Le silence des maux » et son spin-off « Gary » ?
Madame Edmon, la poétesse. Sa duologie best-seller reste son roman signature. De l’émotion, une histoire touchante et le spin off Gary est dans la même intensité. Je précise qu’il peut se lire indépendamment mais spoile l’histoire du silence des maux.
Une auteure incontournable dans le paysage de la romance.
Ensuite j’ai prévu de lire le tout dernier de l’une de mes auteures chouchou en l’occurrence Robyne Max Chavalan avec « Dans les bras de Morphée » ?
Ce livre est mon préféré de Robyne, j’ai eu un coup de cœur pour l’histoire d’Apoline et son lion de Russie.
Robyne a une plume addictive, travaillée et elle a cette capacité à nous transporter d’un genre à l’autre en un claquement de doigts. Il faut absolument lire ce petit bijou historique !
J’ai fait le choix de lire ensuite la duologie d’une voisine en l’occurrence Gwen Delmas avec « Dark Angel » ?
Ce fut une magnifique découverte pour moi. L’univers de Dark Angel est torturé, addictif, sexy (n’ayons pas peur des mots). J’ai eu un crush pour Theon, ce chanteur blessé mais soooo sensible.
Et enfin Angel Arekin avec « Jeu vespéral » ?
Ah… ma bible, mon Saint Graal. J’aime à le répéter mais pour moi, ce livre est LA référence en dark romance et c’est une œuvre époustouflante. Ce n’est pas un secret, Angel Arekin est mon auteur number one et je crois avoir lu Jeu vesperal 7 ou 8 fois. Peu d’auteurs sont capables d’une telle prouesse d’écriture mais attention, il s’adresse à un public très averti.
D’ailleurs petit scoop, mais j’ai l’intention de faire une ou deux fois dans l’année des moments « Spécial Black Ink » comme celui-ci. Je suis convaincu que cela ravira les fans de la Maisons d’Edition et va permettre aux autres de découvrir la richesse du catalogue Black Ink. Et comme je viens de t’offrir un scoop, peux-tu m’en faire de même en m’en offrant sur le FBI ou sur la Maison d’Edition ? (Sourires taquins, je t’ai piégé) ?
Il se pourrait bien qu’une nouvelle traduction rejoigne les bibliothèques de Black Ink d’ici quelques mois…
Sarah, je te fais des gros bisous et te remercie de m’avoir accordé ce temps, si précieux pour toi, je te souhaite d’avance de tout mon cœur un excellent FBI, et une longue route pour la Maison d’Edition, et j’espère te recroiser très bientôt en salon. Je te confie le mot de la fin :
Merci à toi pour ton travail, ta disponibilité et ta gentillesse. C’est toujours un plaisir d’échanger et j’espère te revoir très bientôt au détour d’un salon.
À nos lectrices, rendez-vous en juillet pour un week-end de folie sous le signe de la romance
Avant la sortie du 24 mai 2023, je vous offre Teddy de Manhon Tutin
Bonjour à toutes et tous. Voilà un tome que j’attendais avec impatience ( enfin non c’est toute la saga que j’attends avec une réelle impatience). Je suis devenu fan des « Death Angels ».
Je profite d’ailleurs une nouvelle fois de remercier l’auteure publiquement de m’avoir accordé sa confiance une nouvelle fois pour ce troisième tome.
NB - Je vous glisse le lien de mon précédent article concernant cette saga pour que vous puissiez vous replonger dans l’ambiance :
http://www.leregarddefred.fr/archives/2022/08/13/39592936.html
Me voici donc à vous parler de ce tome 3 en l’occurrence « Teddy » par Manhon Tutin en auto édition qui sort officiellement le 24 mai 2023. Je vous informe d'ailleurs que les pré-commandes arrivent TRES TRES bientot....
Résumé Amazon :
« J’ai vu plus que mon compte d’horreurs au cours de ma vie. J’ai commis des atrocités, j’en ai subi. J’ai vu la mort et je l’ai donnée.
Les fantômes des hommes que j’ai tués ou perdus ne me quittent jamais. Je ne trouve plus le repos. Je les entends qui me parlent lorsque le silence se fait.
La guerre a fait de moi un marginal… Je ne suis plus que l’ombre de celui que j’ai été un jour. Voilà pourquoi j’ai décidé de rejoindre le club, lorsque le corps de l’armée m’a désigné comme étant déséquilibré.
Je suis Teddy Adams, le sergent d’armes des Death Angels.
Entre les murs de notre QG, avec des frères tous aussi ravagés que moi, j’ai trouvé un semblant de paix, tout en restant à bonne distance. Je ne veux pas m’impliquer émotionnellement.
Pourtant, lorsqu’une blessure me laisse sur le carreau, on me confie aux bons soins d’une femme qui va tout remettre en question… qui fait disparaître mes fantômes.
Je me refuse de céder, de la désirer… c’est contraire aux règles. Je ne peux pas risquer de me faire virer, le club est tout ce qui me maintient en vie. »
Extraits au hasard :
« Je raccroche sans plus de cérémonie. Les pleurs et les hurlements de Méghane résonnent à travers cette putain de baraque aux murs en papier mâché. Sa détresse alimente mon dégoût de moi-même, ravive la fureur des démons de mon passé.
Réalité et horreur se mélangent sous mon crâne.
Aux prises avec ma folie, je ne sais même plus où je me trouve. Je ne sais plus à qui appartiennent les cris de douleur qui m’entourent. Est-ce que ce sont ceux de mes frères tombés sur le champ de bataille après avoir posé le pied sur une putain de mine ? Est-ce que ce sont ceux de mon frère jumeau que j’ai vu crever juste devant mes yeux ? Est-ce que ce sont ceux des membres des Death Angels que nous avons perdus au cours des dernières années ? Est-ce ceux de Méghane ? Ou est-ce les miens ? »
« Et c’est d’autant plus vrai depuis cette nuit où nous avons cédé à l’attirance entre nous pour panser nos blessures mutuelles quand Joey nous a quittés. Je ne me suis jamais sentie aussi vivante qu’entre ses bras, aussi belle et sexy qu’à travers son regard. Il n’a rien de tendre dans sa manière d’être, ni même de faire l’amour, pourtant… j’ai vécu notre étreinte comme le plus enivrant moment de mon existence. »
« Dernière nuit avant l’attaque.
C’est notre dernière chance de profiter tous ensemble, ce qu’on s’applique à faire. Tout le monde est présent lors de cette soirée. Les membres du chapitre originel des Death Angels, ceux des autres chapitres, des membres de clubs amis, Diablo et les mercenaires, nos familles. Comme convenu lors d’un entretien précédent, l’IRA assurera nos arrières en cas de retombées sur la baie. Genesis a également mis son père au parfum, il n’est peut-être pas du même côté de la loi que nous, mais puisque son gendre, notre vice-président, traite sa fille comme une princesse… il a appris à fermer les yeux sur certaines de nos pratiques. Il ne va donc pas nous faire chier ce soir. En remerciement, nous lui avons transmis les endroits qu’il vaudrait mieux éviter demain, pour éviter de se faire tuer pour rien.
C’est donnant, donnant. »
Me revoilà installé tranquillement dans le QG des Death Angels pour me plonger dans la lecture de ce tome 3, non sans avoir lu la citation de « John Teller » des « Sons Of Anarchy »
En commençant ma lecture je retrouve « Teddy » le Sergent d’Armes des Death Angels, enfermé dans une baraque avec « Méghane ». Il est en convalescence après s’être prit une balle.
Lors d’une insomnie, il se retrouve devant la télévision ou la miss veut regarder « Walking Dead », très bon choix de programme, j’ai adoré cette série. Et je constate déjà un point commun avec Teddy: voici l’extrait pour confirmer mes propos:
« - Va pour les zombies! J’aime bien cet enfoiré de Negan ! Il pourrait facilement rejoindre nos rangs. »
Toujours est-il, que le Sergent d’Armes doit veiller sur « Meghane malgré ses démons du passé qui se réveillent. Teddy est atteint du trouble dissociatif de l’identité qui fait naître en lui un tueur. Pas évident de pouvoir gérer ça.
Évidemment, les membres du MC connaissent les règles du club cependant Teddy vient d’en enfreindre. Les démons du Sergent d’Armes risquent de ressurgir encore longtemps et pas que à mon avis.
Tandis que Teddy vient de défoncer un russe dans la rue, c’est au tour d’une nouvelle narratrice est protagoniste de l’histoire. Pour elle, avec le Sergent d’Armes c’est une évidence même si, exactement comme lui, elle ne veut plus retomber amoureuse. Entre ses deux là comment ça va se dérouler?… Excellente question à la quelle je vous invite à lire ce tome 3 de la saga « Death Angels » pour avoir la réponse. En tout cas pour ma part je continue ma lecture qui devient addictive et que dire de la plume déjà talentueuse de l’auteure qui ne cesse de prendre en maturité. Manhon progresse dans son style et sa façon d’écrire, tout en restant agréable et fluide dans cette œuvre. Les mots sont choisis avec sérieux pour mener son lectorat exactement où elle le désire. Certes elle emploi parfois des mots crus MAIS ils ne sont pas choquant glissés ainsi dans cette histoire.
En poursuivant ma lecture, je constate que la guerre est totalement déclarée avec les russes de la Bratva et cette fois-ci ça va être certainement sanglant.
Petite note à l’auteure: Par pitié Manhon si tu dois un jour me donner un surnom lors de notre prochaine rencontre, évite : « Poussin » je t’en remercie d’avance…
En tout cas, Teddy joue avec le feu… MAIS n’est-ce pas ça la vie finalement?… Surtout lorsque dès le lendemain, la guerre commence.
Une nouvelle fois, je me dois de remercier Manhon pour le « chapitre bonus » narré par « Hunter » et si comme Moi tout le monde déteste cet enfoiré de « Bolgarov » alors je suis convaincu que ce chapitre va être adoré par ton lectorat. Et que dire du suivant narré cette fois ci par Teddy?… Magique j’ai adoré je l’avoue maintenant un seul regret mais qu’est ce que j’aurais adoré lire la suite de la soirée de Crow.
Dans la continuité de l’histoire, l’auteure nous offre un voyage au Mexique sur le territoire des mercenaires… Depuis le temps que je rêvais de visiter ce pays!
Je tiens à le signaler mais il y a bien quelque chose que je trouve sincèrement énorme de la part de l’auteure: Sa façon de raconter l’histoire de son personnage en plein cœur du récit sans forcément faire de passage façon « Flashback ». Et je dois avouer que j’adore l’idée, une façon d’écrire de la part de Manhon que j’affectionne.
Évidemment ce qui devait arriver, arriva. Cullen après avoir peter un plomb et peter la tronche de Teddy, se prend une belle baffe devant tous les frères du MC. La raison, je n’ai aucune intention de vous la confier. La seule que j’ai envie de faire … Vous inviter à acheter des le 24 mai, jour de la sortie du tome 3 et de le lire. Vous allez adorer croyez-Moi. Pour ma part je continue ma lecture même si je sais d’avance que je ne vais pas en avoir assez. J’adore clairement la plume de Manhon MAIS par dessus tout j’aime profondément cette histoire des « Death Angels » même si ça fait rire, pleurer, gamberger. C’est aussi de cette façon que je me sens humain et VIVANT.( soit dit en passant, il y a bien d’autres moyens de se sentir vivant MAIS ma « Régulière à Moi est encore au travail à cette heure ci)…
Juste avant l’épilogue, Manhon je crois que je t’ai clairement détesté. Non en fait j’en suis même convaincu.
Pour conclure, encore un excellent tome de la part de l’auteure Manhon Tutin, j’ai hâte de découvrir l’histoire de « Roxie » dans un prochain tome MAIS aussi celle de « Crow » encore trois tomes avant le sien….. ça va être TRÈS long.
Silver Skull Tome 2 - Jay par Sweat Pearl Girl Sinner Publishing
Bonjour à toutes et tous, second tome de cette saga « Silver Skull » que je lis de Sweat Pearl Girl et j’avoue que j’avais hâte ayant apprécié la lecture du tome 1.
J’ai hâte de retrouver Jay étant donné que ce second tome lui est dédié. Le demi frère de « Caleb » en a énormément à narrer lui aussi je dois l’avouer.
Évidemment je dois impérativement vous signaler que ce livre est clairement destiné à un public TRÈS averti.
La couverture laisse présager d’un motard dans les flammes de l’enfer peut-être en tout cas je dois l’avouer MAIS cette couverture est très simplement MAGNIFIQUE.
Résumé Amazon :
« Un seul être vous manque et tout est dépeuplé.
Les récents événements n’ont accordés aucun répit aux Silver Skull et quand le chaos laisse place au silence, il ne leur reste qu’un désagréable goût trahison qui ressemble à celui de la cendre.
Un mois plus tard, Jay Knightley, le président national, est incontrôlable.
Animé par son désir insatiable de vengeance, il embarque ses frères d’armes dans son combat contre le Diable mettant la Suède à feu et à sang, au point où c’est tout un pays qui tremble à la simple entente de son nom. En proie à ses plus obscurs démons et souffrant d’hallucination, Jay erre plus que jamais dans les ténèbres.
Quand débarque Rebecka au QG prônant son appartenance au MC et réclamant un grade plus important, il croit d’abord à un mirage de son esprit malade. Cependant, il va très vite comprendre que, bien que ressemblant à son fantôme, la jeune femme a une fougue et un répondant qui n’a d’égale que celui qu’il possède, lui même.
Qui est cette mystérieuse blonde à la langue trop pendu ? Quels secrets cache t’elle ?
Jay n’est pas prêt à découvrir ce que sa nouvelle obsession lui dissimule et qui le ferait définitivement sombrer. Attention, ce livre est une dark romance dans le milieu biker suédois avec des personnages dépourvus de morales. Il contient de nombreuses scènes pouvant choquer, notamment des scènes de sexe explicites. Nous destinons cette histoire à un public majeur et averti »
Extraits au hasard :
« Je baisse les yeux sur mon torse parsemé de sang coagulé. Ouais, j'avais oublié, et maintenant que j'y repense, ça me gratte. J'émets un grognement sourd et reviens sur mes pas, allant directement vers l'arrière de la boutique. Alexina étant à nouveau en train de baiser vu les bruits de couinement qui me parviennent, je me démerde seul, je trouverai bien un lavabo. Je finis par trouver un coin salle de bain, pratique quand le studio est à côté du boulot. Je me défais de mon cuir, par chance l'hémoglobine présente dessus a dû se barrer avec ma virée en moto. Je le cale entre mes jambes pour ne pas le poser quelque part ici, je sais pas où tout le monde baise et si c'est pas mon fluide sur mon blouson, je le brûlerai. Pas de gâchis, donc. Je glisse mes mains sous l'eau et frictionne mon visage, mon torse, toute partie de mon corps qui peut être visible au casino. Manquerait plus qu'on me tape un scandale à mon arrivée. »
« Ramenés en arrière, ils doivent dégager son visage. Je suppose, puisque je suis bien trop loin pour tout détailler scrupuleusement. Il me tourne soudainement le dos, commençant à faire les cent pas devant mon père. Le sablier du MC orne fièrement l'arrière de sa veste, le bandeau juste au-dessus de ce cul moulé dans son jean m'indique qu'il s'agit bien du chapitre national. Stockholm. Ce serait donc... Le Président ? Le fondateur de notre club ? »
« Elle arbore un sourire en coin. Touché. Elle m'excite autant qu'elle me casse les couilles. Ma queue se gorge d'ailleurs de sang, il était temps que je recroise le chemin de quelqu'un qui porte ses ovaires. Une nana qui n'a pas peur de se salir les mains, qui sait comment mordre.
— T'as besoin de tes doigts pour tirer, pas d'autres choses.
J'attrape l'écusson actuel présent sur son cuir de mon autre main et le tire violemment pour l'arracher. J'y plaque ensuite celui de sergent d'armes, ne me privant pas pour appuyer sur l'un de ses seins. Ferme, je le savais. Et surtout, naturel. Pas comme la poitrine de toutes ces brebis refaites de la tête aux pieds. »
Me voilà à me plonger dans ce second opus de la saga « Silver Skull » le second tome titré « Jay », et j’avoue que j’adore toujours autant l’avertissement ainsi que la playlist dédiée au livre.
Dans le prologue tout d’abord je retrouve « Jay » narrateur et protagoniste de l’histoire, enfin dans ce chapitre d’introduction l’auteure nous immerge 22 ans avant de le début de cette histoire. C’est ainsi que l’on se retrouve à la naissance de Yumi. Rien que ce prologue est touchant et tellement ancré de réalité si bien décrit par l’auteure puis l’on se retrouve auprès d’un Jay en furie qui souhaite se venger.
On retrouve Jay dans un salon de tatouage à se faire ancrer la peau par Alexina nue pour l’occasion( ça me donnerait presque l’envie de me faire tatouer j’avoue). Entre temps, c’est au tour de « Caleb » de narrer l’histoire, il sort du salon de tatouage après une courte discussion avec son demi frère.
Il est clair que Jay a une nouvelle obsession, venger Yumi en tuant son père qui n’est autre que ….. Djävulen ( Le Diable).Et semble-t-il prêt à tout pour y arriver et réussir, en le traquant sans relâche.
Malgré tout, Jay a un point commun avec Moi. Enfin plutôt devrais-je dire dans le passé, avant de trouver celle avec qui j’ai retrouvé la vie aujourd’hui. Voilà un si court extrait pour que vous compreniez bien mon propos :
« Seul le bruit de ma chair retentit, et je ne peux m'empêcher de sourire en entendant ce claquement de peau caractéristique. Mon gland continue de gonfler sous l'afflux de sang présent dans ma queue, je pourrais pas me passer de baiser, c'est un de mes codes de conduite. C'est l'unique chose qui me prouve que je suis extérieurement vivant. Alors qu'intérieurement, je ne ressens plus rien. »
Évidemment je n’ai jamais perdu de partenaire de vie( alors que Jay a perdu sa régulière enfin Yumi ). Cependant, il y a des moments ou c’est la seule chose qui me rendait vivant la baise.
Le Jay de ce second tome est encore plus sanguinaire, un véritable tsunami partout où il passe et de plus en plus craint MAIS aussi de plus en plus mis en évidence comme étant un homme à abattre.
La plume de l’auteure est toujours aussi prenante, fluide tantôt cru ou légère selon entre autre les narrateurs ( pour l’instant Jay et Caleb). Je dois l’avouer mais pour ma part elle est addictive et j’ai toujours envie d’en savoir plus sur cette œuvre.
Plus loin dans l’histoire, nous faisons connaissance avec une autre protagoniste et narratrice de cette œuvre en l’occurrence « Rébecka ». Elle est la fille d’un président d’un chapitre des Silver Skull, malheureusement Jay ne va clairement pas cautionner que ce chapitre fasse dans la drogue et encore moins que c’est celle de « Djävulen » ou « Le Diable » qui n’est autre que le père de Jay.
Lorsque Rébecka débarque pour le poste de Sergent d’Armes, le lien va devenir quelques peu charnelles entre Jay et elle même s’il s’est promis de ne plus s’accrocher à quiconque. Évidemment je n’en dirais pas plus pour ne rien spoiler et vous laissez profiter de l’histoire.
Je ne pensais pas rencontrer dans ce livre une fille aussi « folle » que l’était « Yumi » MAIS « Rébecka » ne craint rien et n’hésite pas à montrer qu’elle a aussi des couilles ( enfin des ovaires)… j’avoue que j’adore les femmes de caractères qui osent et j’apprécie. Et Jay pour sa part aime cela aussi au fond de lui, une femme qui lui tient tête, même si face à ses frères d’armes il ne veut pas que quiconque ose lui résister.
Dans ce second tome, l’auteure s’amuse à nous distiller des informations, enfin devrais-je dire plutôt des révélations. On découvre petit à petit que le monde autour des Silver Skull est assez petit finalement.
Alors que Jay a prit la possession de Rébecka, un nouveau narrateur nous raconte l’histoire en l’occurrence Nils.
Et que dire de cette fin hormis qu’elle me laisse sur ma faim car OUI, Myriam, OUI Sweat Pearl Girl j’en voulais plus et je suis frustré de devoir attendre le Tome 3 dédié à Rébecka et au fond j’apprécie ta plume MAIS tu es une Sadique sache le….
Faisons connaissance avec David Ruiz Martin
Hello David, tout d’abord sache que je suis heureux de te recevoir, ici même sur mon « Blog ». Alors, venons-en au fait ! Installe-toi confortablement, permets-moi de t’offrir, un café, un thé peut-être ou préfères-tu un mojito ?
Merci pour ton accueil Jean Frederic, on peut se tutoyer évidemment. Pour moi ce sera volontiers un petit mojito
Bien, alors David, je vais être curieux, mais je suppose que tu t’en doutes bien étant donné que tu as accepté cette entrevue. Tu es auteur, lecteur, sans oublier que professionnellement tu as un travail prenant et une famille. Donc, l’une de mes premières questions en quelques mots, qui est David Ruiz Martin ?
Alors... Je prends mon souffle... je suis marié et père d’un petit garçon de 4 ans, je vis dans un petit village suisse entouré de vignes et de deux lacs (Neuchâtel et Bienne), je suis menuisier de métier, à mon compte, et mes passions sont le cinéma (thrillers, horreur etc) la musique en tout genre (ancien dj de musique électro, entre 20 et 30 ans) et aussi, les jeux vidéo (tout ce qui se rapporte à la fantasy/dark fantasy, dans le genre Dark Souls ou plus récemment Elden Ring pour les connaisseurs)
Comment fais-tu pour tout conjuguer ?
De mon mieux... mais c’est vrai que parfois, je ressens une frustration, par manque de temps pour à peu près tout. Il me faudrait deux vies pour tout conjuguer, ou travailler à mi-temps, mais c’est pour le moment impossible.
Je vais me pencher plus vers ton activité d’auteur si tu me le permets : quel est le cadre idéal ou tu aimes écrire ?
Derrière mon écran Mac, dans notre salon, dos à la télé. Je ne m’imagine pas m’enfermer dans une pièce pour écrire, comme certains. J’aime que ça vive autour de moi. Et de toute manière, j’écris avec un casque sur les oreilles, musique forte.
Qu’est ce qui t’a donné l’envie d’écrire ? et ton déclic ?
Étant enfant, je n’aimais pas trop lire. Puis à 12 ans, j’ai découvert les « Livres dont vous êtes le héros ». Ensuite, vers 15/16 ans, j’ai commencé à dévorer à peu près tous les Stephen King (pas très original), et ça a été un impact dans ma tête. Petit à petit, j’ai eu envie d’écrire des histoires aussi prenantes que le King. Sans vraiment me lancer. Puis, vers l’âge de 30 / 32 ans, je me suis réellement mis à écrire mon premier roman, que j’ai sorti 2 ans plus tard.
Même si je suis conscient que les auteur(e)s se servent de leurs vies pour écrire, je désire en découvrir plus sur tes sources d’inspirations, quelles sont-elles ?
Effectivement, pour ma part je puise parfois dans mes propres expériences, que ce soient des pensées ou du vécu. Mais pour ce qui est de mes sources d’inspiration, je dirais qu’elles sont très diverses et aléatoires. Je tente toujours d’imaginer une histoire que je n’ai encore jamais lu, ou vu en film. C’est un exercice difficile mais grisant quand on trouve une idée qui n’a pas encore été écrite.
Qu’oserais-tu dire à des lectrices et lecteurs potentiels qui n’ont pas encore eu la chance de te lire ?
Que ce n’est jamais trop tard, et que mes histoires sont toutes très différentes, bien qu’elles sont souvent assez sombres (mais toujours très humaines dans leur approche).
(J’espère ceci-dit que mon retour au sujet de ton livre en l’occurrence « Le berceau des impurs » publié sur mon blog va déjà donner aux lectrices et lecteurs l’envie de te lire).
D’après ce que j’en ai lu, tu as plus qu’aimé... Je ne me fais donc aucun doute là-dessus !
D’ailleurs serait-il possible que tu me parles de ce livre. D’où t’est venue l’idée ? combien de temps as-tu mis pour l’écrire ? etc etc en clair je veux tout savoir ?
(Je vais tenter de ne pas me spoiler...) Je dirais, que j’ai toujours voulu aborder le sujet d’une personne qui s’introduirait chez nous et, sans que nous n’en sachions rien, se mettrait à nous épier de jour et de nuit...
... et aussi, traiter de cette maladie mentale qui touche un des personnages principaux.
Je crois avoir mis 15 mois à terminer le premier jet.
Si tu avais le choix d’un ou une auteur(e) pour un quatre mains, qui choisirais-tu ?
J’ai déjà eu l’occasion d’en parler un peu avec l’auteur, ce serait, si nous trouvions le temps et l’idée, avec un certain Pier Paolo Corciulo, un auteur de polars qui vit tout près de chez moi. J’aime son approche psychologique de ses personnages, et je pense que nous pourrions faire quelque chose de bien.
Pourrais-tu me parler de tes livres déjà écrits ?
Mon 2ème roman, « Que les Murs nous gardent », est une histoire qui se déroule dans un manoir. On le devine hanté, mais j’ai tenté une approche plus originale, car on suit deux histoires différentes : celle au présent et une seconde, un siècle auparavant. Et évidemment, à un moment, les deux histoires se croisent et les révélations s’enchainent...
Mon 3ème roman « De Racines et de Sang », signé chez Ramsay Éditions, est une histoire ancrée dans mes racines espagnoles. On suit les pas de Raúl, journaliste, qui part pour Madrid et pour tenter de retrouver le premier amour de son grand-père, une gitane danseuse de flamenco, qu’il a connu durant la guerre civile espagnole et perdu de vue après la guerre. Une histoire de racines justement, car mes grands-parents ont vécu la guerre et mon père, la dictature à Madrid sous le régime de Franco. Il y a beaucoup de mon histoire dans ce roman.
Mon 4ème « Seule la haine », signé chez Taurnada, est un thriller psychologique. On suit les pas de Elliot, 15 ans, qui prend en otage le psychologue de son frère aujourd’hui suicidé, car il le tient pour principal responsable de sa mort. S’ensuit une lutte verbale (surtout), ou le psy est souvent déstabilisé par l’intelligence de l’adolescent. C’est une histoire assez personnelle, car j’ai moi aussi vécu, à l’âge de 14 ans, le suicide de mon cousin que je considérais comme un frère. Les questions et la haine que subit Elliot sont à peu de choses près les mêmes que j’ai vécu à cet âge. Mais ce que fait ce jeune homme va bien au-delà de ce que j’aurais été capable à son âge.
Mon 5ème roman, « Requiem des Ombres », signé aussi chez Taurnada, est un thriller quelque peu ésotérique. On suit les pas d’un homme de 57 ans, qui revient dans sa ville natale pour tenter d’élucider la disparition de son petit frère. Durant ses recherches, il va tomber sur une jeune femme aux dons étranges, et qui va l’aider dans sa quête de vérité.
Ton tout premier manuscrit finis ?
Mon premier roman que j’ai terminé, et autoédité, est « Le Syndrome du Morveux ». Il n’est plus en vente car j’aimerais le reprendre, le réécrire totalement et le sortir pour ses 10 ans... en 2024
C’est un thriller, une histoire de vengeance. Je n’en dirai pas plus
Tu es auto éditée ou en Maison d’édition et pourquoi un tel choix ?
Mes romans 3, 4 et 5 ont été édités dans des maisons d’édition. Mais pour ce dernier, j’ai opté, par choix, pour revenir à l’autoédition. Comme une envie de retenter l’aventure.
Avant de conclure le chapitre auteur, peut-être as-tu envie de m’offrir un scoop sur ton futur projet ?
J’en ai plusieurs ! (De projets) L’écriture éventuelle de la suite de mon tout dernier roman (mon 7ème, encore signé nulle part). Aussi, l’écriture de thrillers jeunesse, pour les 10/13 ans. J’ai quelques idées qui pourraient plaire aux plus jeunes.
Passons à l’aspect lecteur. Comment choisis-tu tes lectures ? Quels sont tes styles de prédilections ?
Le thriller, évidemment, mais j’évite tout ce qui touche des enquêtes policières. J’aime quand les personnages principaux sont des gens comme tout le monde, à qui il arrive des choses terribles.
J’aime beaucoup l’héroic fantasy aussi, avec des auteurs comme Robin Hobb et son « Assassin Royal »
Ton auteur(e) favori(e) ? (Des raisons évidentes à ton jugement …)
Stephen King, sans hésiter. J’ai toujours aimé comment il arrivait à créer une histoire au départ ma foi assez banale, pour nous entraîner ensuite dans le surnaturel ou même l’horreur, et que cela nous semble finalement plausible.
Le tout premier livre que tu as lu, c’était quoi ?
Je ne me souviens plus du titre, mais le premier dont je me souviens vraiment, c’était un livre lu à l’école. Je devais avoir 8 ou 9 ans. Je me souviens juste d’une scène où une jeune fille découvrait quelque chose d’immonde déposé dans sa boîte aux lettres. J’avais pris peur, mais avait adoré ce moment.
Ton coup de foudre littéraire ? Le livre qui t’a le plus bouleversé ? (Les raisons à cela)
Misery, de Stephen King (oui, encore ). J’ai adoré la psychologie de cette infirmière fan de cet écrivain maudit. L’évolution des personnages et cette fin, qui n’épargne personne.
Pour nourrir ma curiosité, j’aimerais aussi te demander si tu regardes la télévision, des séries peut-être ou des films, dis-moi tout ?
Une des dernières séries que j’ai adoré, est « Dexter », pour la psychologie du personnage, ce serial killer à qui on s’attache vraiment.
Et la musique dans ta vie, a-t-elle une place ? Tes goûts …
Une grande place, oui. J’écoute un peu de tout, le rap un peu moins. Mes groupes préférés : Muse, Radiohead, Ghinzu, The Animen, Gorillaz, Puts Marie.
Voilà, nous arrivons bientôt à la fin de cet entretien MAIS, serait-il possible que tu glisses les liens ou l’on peut te découvrir ?
Facebook : David Ruiz Martin
Instagram: david_ruiz_martin
Tiktok : davidruizmartinauteur
Sans oublier de t’interroger sur mon blog, comment trouves-tu mon idée ?
L’idée est extra ! Et certaines questions, vraiment originales.
Où va-t-on avoir la chance de te croiser en salon cette année ?
Ce sera plutôt du côté de la suisse, mais j’ai pour le moment que très peu de dates.
Et enfin quels sont tes vœux et résolutions pour l’année 2023 ?
Rien de particulier, tant que la santé est là, tout le reste est superflu.
David, je te remercie profondément de m’avoir accordé ce temps, même si je sais vu tout ce que tu fais, qu’il t’en manque. Aux plaisirs de se rencontrer bientôt.
Merci pour ces questions, c’était un plaisir !