Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Dans le regard de Fred
23 juin 2023

Special Musique - Interview Mailys Calmelion!

IMG_4912

Hello Mailys, tout d’abord sache que je suis heureux de te recevoir, ici même sur mon « Blog ». Alors, venons-en au fait ! Installe-toi confortablement, alors Mailys, je vais être curieux, mais je suppose que tu t’en doutes bien étant donné que tu as accepté cette entrevue. Tu es une fille, auteure, lectrice, sans oublier que professionnellement tu as un travail prenant et une famille. Donc, l’une de mes premières questions en quelques mots, qui est Mailys Calmelion ?

En fait, J’ai fait le choix en 2021, après une fin de CDD de me lancer entièrement et complètement dans l’écriture ! C’était l’opportunité rêvée, et je l’ai saisie. Je suis d’autant plus privilégiée dans mon écriture que je n’ai ni enfant ni amoureux avec qui partager mon temps d’écriture… On peut donc dire que je suis mariée et dévouée à mon métier d’auteur, et pour le moment, ça me convient bien.

Comment fais-tu pour tout conjuguer ?

Depuis presque deux ans, j’ai beaucoup travaillé à faire de l’écriture ma priorité numéro 1 ! J’ai écouté des vidéos d’entrepreneurs sur Youtube, lu des livres de développement personnels pour trouver ma propre clé du succès et j’ai créé des rituels qui me permettent de travailler tous les jours, d’automatiser le geste de l’écriture, et de rester concentrée sur mes livres. C’est extrêmement épanouissant et prenant, et je suis ravie d’avoir pu expérimenter ce mode de vie qui me faisait rêver depuis l’âge de 14 ans !

Bien sûr, je n’exclue pas l’idée de devoir retrouver un boulot et de construire une vie de famille pour l’instant. Mais comme pour tout, je crois que le changement est nécessaire et que le temps d’adaptation qui en résultera sera plein d’apprentissage. En attendant, je profite de mon célibat et mon statut d’entrepreneur pour écrire, écrire, écrire !

Je vais me pencher plus vers ton activité d’auteure si tu me le permets : quel est le cadre idéal ou tu aimes écrire ?

Tout dépend de mon humeur, mais mon cocon, mon chez moi, c’est déjà le cadre idéal ! J’ai un bureau, dans mon salon, où je passe le plus clair de mon temps. Etant nordiste, j’aime aussi aller travailler au soleil, sur mon balcon, quand le temps le permet. J’ai aussi la chance d’avoir des amis artistes tatoueurs, qui tiennent un shop tout près de chez moi, à Valenciennes. Une fois par semaine, j’y travaille, afin de voir du monde, de discuter, de rire, de relâcher un peu la pression. C’est ma petite soupape de sécurité ; la solitude, à la longue, c’est vraiment pesant. 

Il m’est aussi arrivé de travailler dans des cafés, dans le train, mais je suis la plus efficace dans des lieux que je connais, dans lesquels je me sens en sécurité. 

Qu’est ce qui t’a donné l’envie d’écrire ? et ton déclic ?

Tokio Hotel ! Et ce n’est pas une blague Hahahaha !

J’ai découvert le groupe quand j’avais 13 ans, j’ai fait partie de la vague TH, j’étais une vraie groupie (j’avais retapissé ma chambre avec des posters !) J’ai commencé à écrire des fan-fictions sur le groupe, pour m’amuser et épuiser un peu ma passion pour eux. Ça a duré un an. Puis j’ai laissé les quatre allemands pour approfondir mes gouts musicaux, et j’ai gardé l’écriture. 

De manière générale, j’ai toujours lu depuis que j’ai appris à le faire. Quand je lisais des livres qui m’embarquaient, je les aimais tellement que j’avais la furieuse envie de les avoir écrits, qu’ils m’appartiennent d’une certaine manière. Vers 15 ans, j’ai donc décidé de commencer à écrire mes premiers romans. Rien de bien reluisant, jusqu’à ce que je commence à écrire sur trois nanas qui rêvent de musique et de concerts et qui partent à l’aventure pour les réaliser !

J’avais 16 ans quand j’ai écrit les premières ébauches de The MED’s ! Aujourd’hui, il est bien différent de ce qu’il était, mais il a gardé la même saveur : celle de l’amitié, de l’insouciance que je vivais avec mes propres amis de lycée… TOUS MUSICIENS !

Même si je suis conscient que les auteur(e)s se servent de leurs vies pour écrire, je désire en découvrir plus sur tes sources d’inspirations, quelles sont-elles ?

Pour The MED’s, je me suis clairement inspirée de ce lien très fort que j’ai noués avec mes amis de lycée. On représentait physiquement le style de musique qu’on écoutait : du métal ! Mais nous étions aussi très liés. Dans la cour de récréation, tout le monde nous regardait nous faire des câlins, rire fort, nous courir les uns après les autres… Un groupe de 15 ados aux t-shirts ACDC, Slipknot, et j’en passe qui s’adoraient et faisaient les 400 coups ensemble. 

La plupart d’entre nous étaient musiciens. Moi, je n’avais pas la patience pour apprendre à jouer d’un instrument (je me suis essayée à la guitare… ça a duré 2 mois !). Mais j’avais un truc à moi : l’écriture ! The MED’s, c’est clairement le fantasme de moi qui grimpe sur la scène avec les copains de l’époque pour m’éclater, ce que je n’ai jamais pu réaliser !

Plus globalement, je m’inspire aussi de ce que je traverse, des leçons que j’apprends dans ma propre vie, des sujets qui me tiennent à cœur (en ce moment c’est l’indépendance en tant que femme qui monopolise mon envie d’écrire). 

Par exemple : Love of my Life, le spin off de The MED’s est inspiré de mon histoire, de celle de ma mère, mais également de ma grand-mère maternelle. Le personnage principal a d’ailleurs hérité du diminutif qu’on donnait à ma grand-mère : Annie. Ce n’est pas innocent ! Il y a beaucoup d’elle dans l’histoire de la maman d’Ethan ! Et beaucoup de moi aussi. 

Qu’oserais-tu dire à des lectrices et lecteurs potentiels qui n’ont pas encore eu la chance de te lire ?

(J’espère ceci-dit que mon retour au sujet de Ta Trilogie en l’occurrence « The Med’s » et« Requiem for The Bad Girl »publié sur mon blog va déjà donner aux lectrices et lecteurs l’envie de te lire).

Oui, je suis sadique… mais sans un peu de tristesse, les joies ne sont pas aussi brillantes et euphoriques, non ? C’est une philosophie que je pratique dans ma propre vie, en cas de coup dur : je me souviens que les moments difficiles et ceux où tout va bien sont les deux faces d’une même pièce qu’on appelle la Vie (oui, oui, avec une majuscule !). Les uns sans les autres, le quotidien devient fade et morne, je trouve. 

Dans mes romances, c’est exactement ce que les lecteurs découvriront : tout n’est pas toujours tout rose, mais c’est exactement ce qui rend le Happy end plus brillant et glorieux ! Sachez que l’art copie merveilleusement la vie. Croyez-y à votre propre Happy End !

D’ailleurs serait-il possible que tu me parle de ce livre. D’où t’es venue l’idée ? combien de temps as-tu mis pour l’écrire ? etc etc en clair je veux tout savoir ?

Comme dit un peu plus tôt, The MED’s retrace par la fiction ce que j’ai pu vivre ado, avec mon groupe d’amis. Mais j’étais LOIIIIIIIIIN de penser que cette histoire, un jour, aurait des lecteurs ! A la base, je ne voulais pas la publier. C’était mon manuscrit doudou, que je relisais quand j’avais envie de me faire du bien, que je comptais garder pour moi. 

J’ai accepté de le faire lire à Caroline, à qui je racontais mes aventures d’ado et qui me les enviait, elle qui n’avait pas pu vivre ce genre d’expériences. Non seulement elle m’a forcée à mettre une fin sur ce manuscrit, mais elle m’a aussi convaincue de le retravailler et de l’autopublier, au moment où j’ai commencé à réfléchir à ce sujet. C’est exactement ce que j’ai fait. 

Le premier manuscrit a été plutôt décousu et s’’est écrit sur deux années. Mais si je devais faire le compte de l’écriture totale, je dirais qu’il a été terminé en trois mois. Le tome 2 a été commencé dans une période chaotique de ma vie, qui a nécessité une longue pause. Encore une fois, si je mets les séances d’écriture bout à bout, je dirais qu’il a nécessité deux mois. Pour le tome 3, j’ai été très exigeante avec moi-même : quatre mois et rien d’autre ! Malgré quelques aventures informatiques, j’ai tenu le délai, et j’en suis plutôt fière (même si j’ai fini le boulot lessivée, je dois l’avouer !).

Love of my Life, le Spin off, n’a nécessité qu’un mois, tant l’écriture était claire et coulait de source, pour moi. 

Plus j’avance dans le temps, plus je me professionnalise dans mon processus d’écriture. Le prochain roman que je publierai, Requiem for a Bad Girl, a été écrit en 3 semaines, juste après le salon où nous nous sommes rencontrés ! J’étais pleine d’énergie, remontée à bloc, avec l’envie folle d’écrire, décrire, d’écrire, et le cerveau plein d’idées. 

Tous les romans sont différents. Fin 2022, j’ai également rédigé 90000 mots pour une romance fantastique de Noël en deux petits mois. Parfois, je m’étonne moi-même de l’énergie d’un livre et de la manière dont elle me porte !

Si tu avais le choix d’un ou une auteur(e) pour un quatre mains, qui choisirais-tu ?

Je ne me suis jamais posé la question, mais j’ai la chance d’avoir une personnalité ouverte et joviale qui attire les autres. En octobre 2022, au Château des Plumes, je rencontrais Joanna Kheerly (auteure et éditrice chez La Faucheuse des Mots), qui m’a tout de suite proposé une collaboration avec elle. A l’heure où j’écris ces mots, nous avons prévu une réunion de Brainstorming pour trouver un sujet et commencer le travail préparatoire de ce quatre mains !

En Octobre, j’ai un réel coup de cœur humain pour Molly Reagan, qui a partagé ma table de dédicace. Je ne sais pas comment la Vie s’est arrangée pour nous réunir, mais je t’assure que ça ne pouvait pas être une coïncidence ! Deux cinglées collées l’une à l’autre pendant presque deux jours, je te laisse imaginer les étincelles que cela a pu faire ! 

Si l’occasion se présentait un jour, je prendrais un immense plaisir à collaborer avec Molly (surtout qu’elle m’a promis d’installer un petit coin à moi dans son garage, au cas où j’aurais envie de taper l’incruste chez elle. Est-ce qu’elle n’est pas adorable ?!)

Pourrais-tu me parler de tes livres déjà écrits ?

Outre The MED’s, j’ai également écrit et publié l’Odyssée du Cœur, qui relève plutôt du roman sentimental qu’une romance pure et dure, dans laquelle une jeune femme est rattrapée par le premier homme qu’elle a aimé et qui l’a beaucoup blessée. On y voit comment, 10 ans après, ils se permettent de vivre enfin ce qu’elle espérait. 

Je m’apprête à sortir une duologie de romance Bikers, dont le premier tome paraître début Avril et le second en Juin : Requiem for a Bad Girl et Happy End for a Bad Guy. On m’a reproché, parfois, d’avoir été trop gentillette dans The MED’s. Sauf en ce qui concerne l’antagoniste, Jordana… j’ai donc choisi de prendre le contre-pied et d’écrire l’histoire de cette américaine torturée et malsaine en deux tomes… Et je suis assez contente de mon travail ! Bye bye l’ambiance bisounours !

J’ai également un manuscrit en attente pour Noël 2023, et tout ce que je souhaite en dire pour le moment, c’est que je me suis abandonnée à mon adoration des Super Héros et du sarcasme !

Ton tout premier manuscrit finis ?

J’avais 15 ans. C’était un roman épico-fantastique dans lequel une race hybride, croisement entre Anges et Démons, luttait contre leur génocide. J’avais prévu quatre tomes (j’ai toujours été très ambitieuse !). Je suis allée au bout de deux, entamé le troisième et… j’ai abandonné ! Mais, parfois, des idées me reviennent dans la tête, à propos de ce récit… Je ne peux pas assurer que je ne reprendrais jamais mes premiers manuscrits dans le but de les publier ! Après tout, c’est ce qu’il s’est passé avec The MED’s…

Tu es auto éditée ou en Maison d’édition et pourquoi un tel choix ?

A ce jour, je suis exclusivement auto-publiée. J’aime la liberté de choisir le nombre de mots, ce que je raconte, la manière dont je le fais, pouvoir créer moi-même les couvertures de mes livres, etc… Je sais que, avec une maison d’édition, mes manuscrits seraient plus propres, plus lisses, sans doute plus attrayants. Mais j’aime même leurs imperfections, ces trucs qu’il leur reste à retravailler, et qui m’apprennent à mieux faire mon métier à chaque fois. 

J’entends trop de mes confrères et consœurs écrivains me raconter leurs mésaventures avec leurs Maisons d’Edition. Je crains les caractères en minuscules, les fausses promesses, la date de péremption du livre dans l’édition classique. Ado, j’ai reçu des propositions de contrat de publication, mais chacun d’eux ne me semblaient pas équitables. Ils m’ont légèrement échaudée, au point que j’ai longtemps refusé de penser à l’édition classique…

Je n’exclue pas de me laisser tenter par les Maisons d’éditions à l’avenir. Les petites, les indépendantes. Pas les hachoirs à auteurs qu’on connaît tous. D’ailleurs, j’ai une idée de projet (en roman Feel Good) que j’aimerais écrire dans le but de le proposer en ME. Mais ce sera sans aucun doute pour 2024 !

Avant de conclure le chapitre auteure, peut-être as-tu envie de m’offrir un scoop sur ton futur projet ?

Mais que tu es curieux ! Très bien, mais c’est vraiment parce que c’est toi : mes lectrices savent que j’ai beaucoup de mal avec les scènes de sexe. Je rougis rien que de taper les mots sur mon clavier. C’est pour ça qu’il n’y en pas dans The MED’s ! Je n’ai jamais réussi à aller au bout d’une scène de sexe. 

Eh bien je te le dis en exclusivité : j’ai vaincu ma timidité dans Requiem for a Bad Girl hahaha !

Passons à l’aspect lectrice. Comment choisis-tu tes lectures ? Quels sont tes styles de prédilections ?

Tu sais, mes meilleures lectures ont été dénichées les jours où je me suis perdue des heures dans des librairies, à lire tous les quatrièmes de couverture qui me passaient sous la main ! Je lis ou écoute rarement les critiques de livres, et je me méfie des têtes de gondole… Je suis souvent déçue. J’aime prendre le temps de fureter, de feuilleter, d’essayer, de réfléchir. C’est insupportable pour mes accompagnateurs, mais un régal pour moi. 

Jeune, je lisais énormément de fantastique et de science-fiction, de romans d’anticipation (qu’on connaît aussi sous le nom de dystopie ou utopie). C’est ce dernier genre qui reste mon préféré. L’année dernière, j’ai lu la trilogie La Faucheuse de Neil Shusterman. Mon coup de cœur 2022, haut la main ! J’ai dévoré les trois tomes, plutôt épais, sur deux semaines de temps !

J’aime bien me laisser guider par l’instinct pour mon choix de livres. J’aime aussi les recommandations passionnées… c’est, à mon sens, la meilleure preuve de la qualité d’un livre !

Ton auteur(e) favori(e) ? (Des raisons évidentes à ton jugement …)

Olala, que c’est dur de n’en choisir qu’un ! Surtout qu’entre auteur Américain, français, anglais ou de toute autre nationalité, les manières d’écrire sont extrêmement différentes. Mais si je ne devais plus lire qu’un seul auteur et être exilée sur une île déserte avec tous ses livres, ce serait Stephen King ! 

J’ai une admiration de dingue pour ce monsieur, autant pour la quantité de livres qu’il a publié (il est un des auteurs les plus prolifiques au monde !) que pour la qualité. Stephen King va au fond de son sujet, dans son aspect le plus noir et le plus sombre, et ses descriptions sont des cas d’école à elles toutes seules. Si je veux lire un bon roman, je pioche un Stephen King. Même les moins aimées de ses œuvres sont intéressantes du point de vue de la technique de l’écriture. 

Le tout premier livre que tu as lu, c’était quoi ?

Tourbillon le lutin ! Un petit recueil de nouvelles sur un lutin farceur qui embêtait les animaux de la forêt. Je l’ai lu en boucle pendant des mois. J’avais sept ou huit ans. C’est ce qui a permis à mes parents de comprendre que j’avais faim de lecture ! après ça, petit à petit, ils m’ont ramené de plus en plus de livres. Jusqu’à ce que mon père m’offre les quatre premiers tomes de Harry Potter, quand j’ai eu dix ans. 

La révélation ! 

Ton coup de foudre littéraire ? Le livre qui t’a le plus bouleversé ? (Les raisons à cela)

Encore une fois, c’est très dur ! Tous les styles m’ont bouleversée, d’une manière ou d’une autre. Dans le fantastique, Histoire de Lisey, de Stephen King, a été incroyablement bouleversant par sa cruauté, sa douceur, et certaines descriptions terrifiantes du King !

En romance, j’ai été renversée par la poésie de Quand Souffle le Vent du Nord, de Daniel Glattauer. C’est un roman épistolaire qui décrit la rencontre via mail de deux personnes qui n’auraient jamais dû se connaître. Pas de description, rien que les mots qu’ils ont l’un pour l’autre, et toute la puissance d’une histoire qu’on ne peut plus lâcher !

En science-fiction, la série Uglies de Scott Westerfeld, m’a donné le goût de l’héroïne forte et indépendante. Tally Youngblood, son héroïne, a un caractère bien trempé et un charisme qui se retourne contre elle, parfois. Je les ai lus il y a quinze ans, et je me souviens encore de la manière dont je les ai dévorés et des passages les plus marquants. Incroyable, non ?

Pour nourrir ma curiosité, j’aimerais aussi te demander si tu regardes la télévision, des séries peut-être ou des films, dis-moi tout ?

J’adore le cinéma et les séries. Je suis une grande consommatrice, ça nourrit parfaitement l’imaginaire. Je vous un vrai culte à Game Of Thrones, qui m’a fait passer par TOUTES les émotions et les surprises, alors que je vois toujours venir en avance les coups tordus dans d’autres programmes. J’envie le cerveau machiavélique de George RR Martin !

Stranger Things, Sense8, Supernatural… Tu vois, je suis très dirigée vers le fantastique. 

En films j’aime surtout ce qui met mon cerveau à contribution. J’aime autant te dire que les films d’action, ce n’est que très rarement ma came ! Mais j’aime tous les genres, du fantastique au romantique. Mes préférés restent Star Wars, Matrix, les films de Super Héros (DC et Marvel confondus), les films d’auteurs de plus en plus pour la réflexion qu’ils m’apportent… Bref, j’aime bien le septième art !

Et la musique dans ta vie, a-t-elle une place ? Tes goûts …

La musique est primordiale dans mon processus créatif. Elle m’aide à délier mes idées, à visualiser des scènes de roman, à donner du caractère à mes personnages. J’ai déjà construit des romans autour d’un morceau qui me fait tilt !

Je suis une amoureuse de la guitare électrique. Je ne peux même pas décrire ce que ça me fait d’entendre les solos de David Gilmour, sur Comfortably Numb. C’est magique !

Du coup, je suis une nana très rock n roll, avec une grande passion pour la musique rock et métal. Mais j’ai toujours eu des goûts très larges allant de la variété française au rap, en passant par un peu d’électro et même de la musique classique ces dernières années. 

Le requiem de Verdi a joué un grand rôle dans la conception de Requiem for a Bad Girl (d’où son nom, d’ailleurs !) 

Voilà, nous arrivons bientôt à la fin de cet entretien MAIS, serait-il possible que tu glisses les liens ou l’on peut te découvrir ?

On peut trouver toutes les informations sur mes livres et les liens d’achat sur Amazon via ma page auteur en suivant ce lien : Amazon.fr: Maïlys Calmelion: Livres, Biographie, écrits, livres audio, Kindle

Je suis aussi totalement joignable et loquace que les réseaux sociaux, notamment instagram : Maïlys l Auteure de romance musicale (@mailys.calmelion.auteur) • Photos et vidéos Instagram et facebook en suivant ce lien : Maïlys Calmélion - Auteure de romance musicale | Facebook

Sans oublier de t’interroger sur mon blog, comment trouves-tu mon idée ?

C’est une idée géniale d’interroger les auteurs sur des sujets aussi variés que ce que tu as abordés dans cette Interview. Bien souvent, j’ai commencé à lire des auteurs en les entendant parler d’eux, de leur vie et de leur passion pour l’écriture. Les connaître avant de les lire, c’est s’en faire des amis dans la lecture, qu’on comprend et qu’on cerne beaucoup mieux. Alors merci à toi de me permettre d’en dire un peu plus sur moi à mes futurs lecteurs !

Où va-t-on avoir la chance de te croiser en salon cette fin d’année ?

Cette année, je serai au salon Diamonds and Books, à Ecquedecques, les 20 et 21 Mai 2023. J’attends confirmation de Marlene, l’organisatrice du château des plumes, mais j’espère également être de retour à Avignon en Octobre prochain !

Et enfin quels sont tes vœux et résolutions pour l’année 2023?

Je souhaite pouvoir échanger plus avec les lecteurs, être lus par beaucoup de nouvelles personnes, rencontrer d’autres acteurs du livre (c’est toujours extrêmement enrichissant !). Mais surtout, je veux écrire encore, continuer d’être passionnée par les mots et les idées. C’est ma plus grande joie !

Mailys, je te remercie profondément de m’avoir accordé ce temps, même si je sais vu tout ce que tu fais, qu’il t’en manque. Aux plaisirs de te revoir très bientôt.

Publicité
Publicité
Commentaires
Dans le regard de Fred
Publicité
Archives
Publicité