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Dans le regard de Fred
10 juillet 2023

Chronique de "Jailhouse Rock" de Mon Ami Rex Van Asselt

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Hello Mon Cercle Amical.

Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu de livre de mon Ami Rex Van Asselt. Voilà chose réparée étant donné que je viens d’en lire deux d’affilé.

Tout d’abord celui-ci : « Jailhouse Rock » une novella en auto édition.

D’ailleurs Rex, peux-tu m’en parler ici même de cette Novella : ou as tu trouvé l’idée et l’inspiration?… En combien de temps l’as tu écris ?…. En clair je veux tout savoir ?…

En fait, c’est un petit défi que je m’étais lancé. Comme cette année, le Festival des Pipelettes ( salon du livre qui aura lieu le 1er et 2 juillet à Cerisy 80 ) est sur le thème des Pin-up et des années 50 je me suis dit et pourquoi pas ! Je suis donc totalement sorti de mon style habituel. Pour l’inspiration, ce n’est pas bien compliqué, j’ai également grandi au son de ces musiques et chansons de cette époque à cause de mes parents et puis des films tel que Grease, American Graffiti etc… Donc voilà, défi relevé je pense. Ah oui je l’ai écrit en deux mois.

Résumé Amazon : 

Bienvenue à Greenville ! La ville où en cet été 1958, la vie des jeunes se résume à l'amitié, le flirt et le rock'n'roll. Alors, lorsque le groupe Rockalovers est annoncé en guest star pour le bal de fin d'année, c'est l'euphorie.

Carol est une jeune fille insouciante. Pour elle, son avenir est déjà tout tracé par ses parents. Elle mènera une existence de rêve avec la belle maison, une bonne situation et le gendre idéal.

Cela lui convenait parfaitement jusqu'à l'arrivée de Jimmy Valone, le leader du groupe de rock qui va complètement bousculer sa vie.

Extraits au hasard :

« Je tente de déballer le plus correctement possible mon cadeau en prenant exprès mon temps, histoire de l’agacer un peu. Mon père a préparé son appareil photo et est prêt à me mitrailler. Je finis par l’ouvrir.

C’est un mini jukebox permettant d’écouter la radio et même d’y glisser un 45 tours. Je hurle ma joie sous les applaudissements de ma mère et de mon frère. Je me lève les bras en l’air, puis me jette au cou d’oncle Joey pendant que papa joue au reporter du jour. Nous le branchons ensuite sur le courant pour voir s’il fonctionne. Aussitôt, toutes les lumières s’allument, c’est la réplique exacte d’un Wurlitzer avec ses chromes et ses courbes scintillantes. Je saute une seconde fois dans les bras de mon oncle. »

« Après le morceau, j’annonce à Tommy que j’ai besoin de me poser cinq minutes, car je suis en sueur. Il en profite pour sortir prendre l’air, quant à moi, je me dirige vers le buffet. Je me sers un grand gobelet de punch frais, y mets une paille et le déguste adossée à la table. Je me surprends à rêvasser en observant le chanteur lorsque tout à coup, son regard croise le mien. Il me sourit. Je scrute tout autour, mais c’est bien à moi qu’il s’adresse. Il m’adresse ensuite un clin d’œil qui rend mes jambes flageolantes. J’ai cette brusque impression que tout le monde m’observe, je dois être rouge écarlate. Je détourne les yeux en direction du plafond, n’osant plus les diriger vers la scène. Toutefois, je ne peux résister et m’y risque à nouveau. »

« 19 heures, nous voilà toutes dans cette merveilleuse chambre. Il faut dire que la surface de la pièce permet d’y accueillir un lit king size, un superbe divan de cuir blanc et même un mini bar. En fait, elle a presque son petit appartement qui donne sur une magnifique salle de bains rien qu’à elle. Les boîtes de maquillage sont sorties, les magazines people également. Kitty nous fait la lecture des derniers potins lorsque Debby sort de la salle d’eau. »

C’est ainsi que je me plonge dans le prologue de cette Novella signée Rex Van Asselt. 

Des les premières lignes de cette œuvre je suis plongés en fin d’année scolaire 1958 ou je fais connaissance de « Carol Mitchell » narratrice et protagoniste de l’histoire qui bientôt va fêter ses 17 ans.( oh le bel âge ), habitante de Greenville.

Avec l’auteur, Rex en l’occurrence, une chose est certaine. Il réussi dans n’importe lequel de ses livres à immerger son lecteur totalement. Cette Novella nous transporte dans les années 50/60 au son d’Elvis Presley où Chuck Berry. Cela me rappelle une série que je regardais lorsque j’étais jeune ( c’était il y a longtemps): « Happy Days », cela vous dit-il quelque chose?

Toujours est-il la plume de Rex est talentueuse, simple et sans fioriture. Le texte est fluide et l’auteur nous mène exactement où il le désire.

C’est ainsi que j’en arrive au chapitre 8 et je fais la connaissance d’un nouveau narrateur de l’histoire en l’occurrence « Jimmy » guitariste et chanteur du groupe « Les Rockalovers ». 

Puis c’est au tour de « Tommy » le petit ami ( ou ex petit ami) de Carol qui prends à son tour la narration, cherchant à tout prix à discréditer le chanteur par pure jalousie.

Toujours est il que cette Novella est trop courte, j’ai adoré l’ambiance de cette œuvre et j’en voulais encore mon cher Rex. J’adore ta plume et je me plonge de suite dans ton dernier : «  Sparrow Deadly love »…

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