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Dans le regard de Fred
16 juin 2023

Spécial Musique - Chronique Trilogie Gueule d'ange de Katja Lasan

katja

Bonjour à toutes et tous, je viens aujourd’hui vous parler de la trilogie « Gueule d’ange » de Katja Lasan édité aux Éditions Cyplog.

J’ai eu la chance de lire « Damien » qui n’est autre qu’un spin off de cette trilogie et je voulais en lire plus j’ai donc cette année au salon Romance Fever à Vendargues investis cette trilogie ainsi que le second spin Off « Luc Petit coeur ».

Je me plonge donc dans ce premier opus « Sex, fun and rock’n’roll » en l’occurrence « Gueule d’ange 0,5 

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Résumé Amazon :

« Y a qu’en musique et dans la baise que j’aime pas être mauvais. Pour le reste, je m’en branle. » Fred

Avant de devenir Gueule d’ange, leader charismatique et déjanté du groupe de rock Dark Moon, Fred était un ado – presque – comme les autres…

Extraits au hasard :

« Je lève un sourcil, étonné par son langage. Pierre, il ressemble à un prof. Bon… En même temps, les jours où il ne donne pas de récital, c’est ce qu’il est : prof de violon.

Ce quinqua est toujours propre sur lui, grand, carré, des lunettes en écailles, des cheveux impeccablement coupés, des costumes bien taillés, jamais un mot plus haut que l’autre. Alors, quand il utilise un vocabulaire qui sort de la bienséance, ça me surprend. Si Rose était auprès de nous, je sais qu’elle le reprendrait avec une moue offusquée. »

« À la fin du morceau, les meufs applaudissent et José sourit de toutes ses dents. J’ai jamais compris ce qui faisait autant fantasmer les gonzesses quand elles voient un mec avec une guitare dans les mains. Étonnamment, quand tu dis que tu joues de la basse, y a plus personne.

Pourtant, c’est classe aussi, la basse, et surtout, un instrument indispensable dans un groupe de rock. Il est celui qui donne le rythme et qui tient le squelette du morceau. Malheureusement, de par sa tessiture grave, il est aussi celui qu’on entend le moins durant un concert, à moins d’être mis en avant, comme avec Muse par exemple, ou les Red Hot, ou Motörhead. En fait, suffit que le bassiste soit suffisamment barré et charismatique pour se faire remarquer, genre Flea ou Duff McKagan.

Face à son succès, Monsieur Muscle semble prêt à nous en rejouer une, mais Rob est plus prompt et récupère sa folk. »

« Après une glace en dessert, nous faisons un tour sur les quais et contemplons les bateaux et les touristes. Y a quand même de sacrés cas, parmi ces derniers. C’est drôle à regarder, comme à Paris. J’aime bien les observer, surtout sur les bateaux-mouches. Quand ils découvrent la tour Eiffel ou Notre-Dame, on dirait qu’ils viennent de découvrir Dieu en personne. Risible. Surtout quand ils se prennent en photo devant, le sourire dégoulinant de niaiserie.

Pour me marrer, je devrais prendre en photo les touristes qui se prennent en photo. Je suis sûr que ça vaudrait des points. Surtout les Japonais. Eux, avec leur sourire ultra-bright, ils sont indétrônables.

Nos pas finissent par nous faire revenir à la voiture. Je me vautre sur le siège et pose mes pieds sur le tableau de bord, prêt à admirer le paysage, le cerveau au repos. Faut admettre que le décor corse est sympa, c’est vrai. Plus que la musique qui envahit bientôt l’habitacle. Radio Classique ça va un moment, putain ! »

Je me lance et déjà en lisant la citation du si regretté « Kurt Cobain » chanteur énigmatique du groupe « Nirvana » parti à mon sens trop tôt, ça me parle. Et c’est ainsi que je me plonge dans cette œuvre ou je vais découvrir « Fred Pelletier »

Le narrateur et protagoniste de l’histoire en l’occurrence donc « Fred »( très bon choix de prénom je trouve Katja), est un orphelin. Il a perdu ses parents dans un accident de voiture lorsqu’il était enfant et depuis après plusieurs essais en famille d’accueil, il vit dans un foyer à Paris. Pierre et Rose l’on menait en Corse pour les vacances avant qu’il rentre au lycée. Même s’il est très solitaire, Fred est ami avec Elsa une fille qu’il a connu au foyer et qu’il considère comme sa sœur.

En lisant la suite, je constate que j’ai le même regret que le protagoniste et narrateur de l’histoire, d’ailleurs voici l’extrait pour que vous compreniez mes propos :

« Même si Nirvana est numéro un dans mon cœur et que l’unique regret de ma vie sera de ne jamais pouvoir croiser Kurt Cobain, j’admire ce groupe. »

Comme je l’avais dit plus haut, Fred est un solitaire d’ailleurs voici un extrait qui confirme jusqu’à quel point, il peut l’être:

« Non, mais c’est dingue ça ! J’aime pas parler, pourtant faut toujours que les autres viennent me taper la causette. Je dois avoir un truc qui attire, je comprends pas. Je suis un profond asocial, mais les gens veulent être amis avec moi. Ça me dépasse. »

Malgré la culture Rock de l’auteure je constate qu’elle connaît les tubes phares des 40 dernières années, la lambada, l’aventurier ou encore Yannick avec sa chanson « Ces soirées la »…

Malgré tout, je dois vous entretenir sur la plume de l’auteure, elle est simple, fluide et TRÈS addictive. Je ne cesse de vouloir en savoir plus. Elle sait décrire une scène pour immerger totalement son lectorat. D’ailleurs j’étais hier à Vendargues face à toi Katja et aujourd’hui je suis en vacances en Corse devant 4 mecs qui se déguisent selon les morceaux qu’ils jouent. Avoue que tu est très forte pour transporter et faire voyager ton lectorat…

Il y a un point sur lequel je suis d’accord avec l’auteure. Certes pas dans le contexte du livre MAIS sur la vie en général( katja va me détester en lisant ma chronique MAIS j’assume). Voilà l’extrait pour que vous compreniez mes propos:

« C’est tellement plus complexe que nous, les gonzesses, faudrait nous les livrer avec un mode d’emploi. »

Alors que la rentrée arrive à grand pas pour notre narrateur et protagoniste de l’histoire je suis toujours accaparé par cette histoire. 

Voilà que justement l’histoire nous fait faire un bon de 11 ans et l’histoire d’amitié qui était né en cours de musique au lycée semble être ancrée dans le marbre. On découvre le cercle amical de notre narrateur et protagoniste Frédéric.( je kiffe toujours autant ce prénom pour ma part). Voilà l’extrait qui confirme mes propos: 

« Voilà. Ces deux dingos, par exemple, font partie des bonnes personnes. Les frères siamois comme les surnomme parfois notre manager, ou les frères terribles, même s’ils ne sont pas frangins pour un sou et ne se ressemblent physiquement pas du tout. Damien et Luc, des piliers dans ma vie. Au même titre que Mickaël – Mike pour gagner du temps. Pierre. Elsa. Rose. Flavia, la femme de Mike, l’ancienne punkette du lycée.

Ma famille de cœur. »

Le groupe « Dark Moon » est né!

Une fin assez particulière et si les signes du destin n’étaient pas innocents. Enfin toujours est-il que je viens à peine de terminer ce tome 0,5 que je me plonge immédiatement dans le tome 1.

Si vous n’avez pas lus cette trilogie je vous invite à la lire car si vous lisez ma chronique, évidemment vous allez lire des spoils. À vous de voir si vous désirez OU PAS lire la suite.

« Gueule d’ange Tome 1 : Alice»

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Résumé Amazon :

« Alice aime les choses simples : son boulot à la bibliothèque de Lausanne, la danse, le ciné, passer du temps avec sa famille et ses potes, surtout Johanna, sa meilleure amie fantasque et délurée. Mais voilà qu’après une soirée trop arrosée, la vie si bien réglée d’Alice bascule. Une dispute, un accident, une cheville en vrac, un mystérieux inconnu aux yeux verts qui l’emmène à l’hôpital… Qui est ce type ? Pourquoi captive-t-il tant le regard des autres ? Et pourquoi se sent-elle si irrémédiablement attirée par lui ? Ce mec à la beauté ténébreuse cache trop de secrets et Alice est curieuse. Ce qu’elle ignore, c’est qu’à suivre la piste du lapin blanc, sa jolie vie pop et bien réglée va s’ouvrir à des plaisirs sexuels intenses et prendre une tournure beaucoup plus rock’n’roll et dangereuse. »

Extraits au hasard :

« Une nouvelle grande pièce, couverte de parquet au sol. Au centre, une table de billard. Sur la gauche, un baby-foot et un jeu de fléchettes. Mais pourquoi de tels jeux, dans une maison pareille, ne m’étonnent-ils même pas ? Au fond, à droite, un superbe bar en bois massif, aux étagères remplies d’alcool divers. Mais surtout, à son côté, une bibliothèque !

Sa taille n’est pas très impressionnante comparée à la collection de films, néanmoins elle est assez imposante et variée. Des livres aux reliures anciennes côtoient des éditeurs plus contemporains. Je lâche la main de mon hôte, trop curieuse de découvrir ses goûts littéraires. »

« Tiens, je n’avais pas pensé à ça. Imaginer Judith, le soir dans son lit, en train de reluquer les affiches de ses idoles et de fantasmer dessus, ça me fout des frissons. Et dire qu’il doit y avoir des centaines de milliers de gens comme elle à travers le monde, même au Japon ! Je revois certains blogs de fans que j’ai visités la veille au soir. Des fans de toutes natures : les respectueux, les allumés, les obsédés, ceux qui vont à un maximum de concerts et qui dépensent une fortune en billets de transports et de représentations. Ça me dépasse.

Le corps tremblant, je regarde encore une fois le Post-it griffonné : combien certains d’entre eux seraient-ils prêts à débourser pour les quelques chiffres dansant devant mes yeux ? »

« Je m’apprête à ouvrir la portière, mais arrête subitement mon geste. Je ne peux pas partir comme ça, avec l’horrible impression d’une cuisante défaite. J’avais accepté de jouer, malgré toutes les conséquences que cela pourrait avoir, alors jouons. Je me retourne et m’approche de Fred, mon regard noyé dans le sien, si brûlant. Lentement, je me penche vers lui, frôle son nez et délicatement, je dépose un baiser à la commissure de ses lèvres tentatrices. Je me contrôle un maximum pour ne pas dévier de ma trajectoire, j’ai bien compris le message : pas de baiser sur la bouche ce soir. Et finalement, ce n’est pas une mauvaise initiative, je crois. J’ai l’haleine tellement chargée d’alcool et de fatigue que je ne suis pas sûre d’avoir envie de me rouler un patin à moi-même. »

Non sans avoir lu les remerciements de l’auteure ou l’on apprends un peu l’histoire de cette œuvre je me plonge dans le prologue du livre narré par « Fred ». Donc vous pouvez en déduire comme Moi qu’il y a plusieurs voix pour narrer ce tome 1. 

Certainement je vais rencontrer des nouveaux protagonistes MAIS je suis convaincu de retrouver le groupe « Dark Moon » avec Frédéric évidemment mais aussi « Alice » que l’on rencontre déjà dans le tome 0,5 …. A deux reprises d’ailleurs…. 

Tandis qu’elle hante ses pensées, Alice introduit l’histoire de ce tome 1 en la narrant. On découvre avec son point de vue, ce qu’il s’est réellement passé lors de sa seconde rencontre avec Fred à la fin du tome 0,5.

Par contre, je vais dorénavant vérifier mon tiroir à boxer, sait-on jamais si ma chère et tendre m’en vole …

Tandis que Fred vient de ramener Alice en moto, je suspecte qu’entre eux l’histoire commence à peine. Évidemment je ne sais pas encore comment MAIS je suis clairement convaincu qu’ils vont se revoir. 

La plume de Katja est toujours aussi fluide, passionnante et très addictive. Je ke cesse de tourner les pages alors qu’il est déjà plus d’une heure du matin( le réveil risque de piquer demain matin, mais peu importe je me sens bien dans cette histoire).

Même si Alice, sur le bateau de la « Charity’s Cross » se sent comme « Rose » dans « Titanic » j’espère qu’elle ne va pas avoir le même sort.( sourires ). Et que dire du Ricard, apéritif si adoré dans mon cher et tendre Sud de la France.

L’auteure maîtrise habilement le jeu du chat et de la sourie au sujet des protagonistes qui se cherchent, s’effleurent, tentant de s’apprivoiser. Elle sait faire monter la tension pour la faire redescendre aussitôt MAIS je suis convaincu que ça va craquer et certainement se finir en feu d’artifice. Quoi qu’avec Katja, il faut s’attendre à tout.

Il faut aussi que je vous parle des scènes de sexes, d’une infime intimité qui sont décrites avec une once de poésie, aucun mot vulgaire ni trash, tout n’est que douceur ( dans les mots pas dans les actes évidemment OU là je vous invite à lire ces œuvre pour savoir ce qu’il se passe exactement.

Et je ne peux que confirmer le propose de l’auteure lorsqu’elle écrit, je la cite une nouvelle fois :

« L’amour n’est vraiment pas simple à gérer. »

Au fil de l’histoire, les personnages sont découverts petit à petit. Tandis que Frédéric devient disons plus humain, plus ouvert aux autres et découvre qu’il éprouve des sentiments envers Alice sans le vouloir, elle devient plus mature et évidemment désire sans cesse lui plaire en trouvant des idées tout autant charnelles les unes que les autres. Ils se sont bien trouvés nos deux protagonistes.

Alors sache, qu’à la fin de ce tome 1 Katja, si j’avais dû attendre pour lire le tome 2, je pense que j’aurais été TRÈS en colère contre toi… Fort heureusement je vais pouvoir enchaîner de suite avec le tome 2 mais pour conclure ce « Gueule d’ange: Tome 1, Alice » j’ai juste envie de te dire que j’ai « foutrement adoré »…

Venons-en à la suite en l’occurrence : « Gueule d’ange - Tome 2 » de Katja Lasan au éditions Cyplog.

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Résumé Amazon :

« Harcelé depuis plusieurs années par une fan, aujourd’hui Fred a peur : dans sa dernière lettre, voilà que cette folle menace directement Alice. Depuis qu’il la connaît, il ne lui attire que des ennuis, à cette demoiselle. Ils n’appartiennent pas aux mêmes mondes. Et Fred a trop de fêlures, trop de démons enfouis au plus profond de lui. La meilleure chose à faire pour la protéger serait de la quitter. Pourtant, il ne peut s’y résoudre. Cette fille, il l’a dans la peau. Son sourire, son regard, son corps, tout en elle l’obsède. Mais à vouloir garder ses secrets pour lui, plus que leur relation, c’est Alice elle-même que Fred risque de mettre en danger. »

Extraits au hasard :

« Fred a appris à se contrôler, à éviter les grosses conneries. Pierre lui a enseigné la musique et comment composer. C’est sa faute, en fait, si Fred a perpétuellement la tête dans les accords ! Pierre et Rose n’ont jamais souhaité qu’une seule chose : qu’il ha­bite avec eux, mais cet idiot s’est toujours obstiné à dire non. Au foyer, il ne se mélangeait à personne. Il était soit derrière un bouquin, soit dans sa chambre à pincer ses cordes. Au fil du temps, j’ai réussi à l’approcher, à... l’apprivoiser, en quelque sorte.

À ces paroles, elle envoie un sourire à Flavia avant de continuer. »

« Les textes sont majoritairement durs, bruts, un peu sombres, mais non dénués d’une certaine poésie. Comme à son habitude, Fred dégomme la société de consom­mation, la politique et les fléaux du monde, mais avec encore bien moins de filtres que dans ses anciennes compos. Ses anges paraissent moins tourmentés, prêts à lâcher sur les hommes l’apocalypse finale qui les entraînera dans les enfers de la terre. Il crache un dégoût évident sur les puissants qui jouissent des malheurs du peuple et sur ce XXIe siècle prônant l’individualisme et le pouvoir chronophage du virtuel. Et puis, soudain, de nouvelles larmes envahissent mes yeux, tandis que mon cœur se gonfle d’amour pour le mec couché près de moi. »

« Soucieux, je pose mon téléphone sur la table de la cuisine. Après une soirée sympa dont Alice ne se remettra sûrement jamais – après tout, c’est pas tous les jours que vous trinquez avec votre artiste préféré et qu’on vous baise avec ferveur contre la porte des chiottes d’un resto italien –, le quotidien et ses emmerdes ont décidé de revenir au galop. Mike vient de m’annoncer qu’ils ont dû se rendre aux urgences durant la nuit ; heureusement, c’était une fausse alerte et malgré le fait que Flavia devrait rester tranquille et allongée, elle l’a convaincu de rentrer chez eux, à Nyon. Définitivement, elle refuse d’accoucher ici. Elle a peut-être pas tort ; ils sont tous givrés dans cette ville. Même la boulangère, ce matin, semblait avoir avalé du speed. Percevant mon trouble, Alice lâche son croissant pour emprisonner ma main, l’air compatissante. »

Je me plonge dans ma lecture mais avant cela je souhaite vous retranscrire un court extrait des remerciements de Katja Lasan qui reflète bien le lancement de là lecture de ce tome :

« A présent, je vous laisse entre de bonnes mains, celle des Dark Moon, et vous souhaite un bel envol dans leurs accords et leur douce folie.

Rock’n’Love !!! »…

Cette œuvre est une nouvelle fois à deux voix, narrée par deux protagonistes en l’occurrence Fred et Alice à la première personne. 

Nous les retrouvons comme dans la fin du premier tome, amoureux sans oser se l’avouer. La fan récidive avec les différents courriers envoyés aux deux protagonistes. Comment va se terminer ce délire, impossible à savoir selon la police. Soit elle va se lasser soit un jour aller au bout de ses menaces… 

Petit à petit les pièces du puzzles se rassemblent sur le passé de Frédéric jusqu’a ce clash ose lui tenir tête et après un retour imprévu de Paris, il lui confie l’inavouable soirée qui a fait basculé sa vie. 

Lors d’une soirée entre membres du groupe et amis, il y a un passage qui m’a fait réagir, enfin cela m’a fait réfléchir sur Alice et j’ai l’impression que l’auteure Katja s’est inspirée de ses traits personnels de caractères pour cette protagoniste. Voilà l’extrait qui m’a inspiré ce propos:

« Elle secoue négativement la tête dans un sourire. Ça m’aurait surpris aussi, mais c’est également ce que j’aime chez elle. Elle reste elle-même, sans chercher à aller à l’encontre de ce qu’elle pense pour faire plaisir aux autres. Authentique, voilà le bon mot » 

J’ai énormément apprécié le récit du soir de Noël chez la famille d’Alice et la discussion assez tendue entre sa mère et Fred, mais que dire de cette soirée du nouvel an ou Johanna, l’amie d’Alice s’est offert un trio avec son homme( Marc hyper jaloux) et Luc ( membre des Dark Moon avec un piercing à la langue )….. Soit dit en passant, elle a raison d’en avoir profité ( sourires, ce n’est que mon avis personnel) tandis que le groupe se prépare à Bercy devant 18 000 personnes.

Évidemment, je ne raconte pas toute l’histoire MAIS il y a une intrigue depuis le tome 1 qui, je dois l’avouer travaille les protagonistes de l’histoire. Maintenant si vous désirez en savoir plus sur cette intrigue, je vous invite à lire « Gueule d’ange ».

Pour Moi, le chapitre Bercy est écrit d’une merveilleuse façon, l’auteure a réussi à m’immerger totalement dans ce concert jusqu’à m’en faire verser les larmes. 

Et pour conclure cette chronique je remercie l’auteure pour la scène « bonus » à la fin que j’ai trouvé tellement touchante. Ceci étant dit je n’en dirais pas plus pour ne rien spoiler MAIS je vous invite à lire cette histoire, vous allez adorer. 

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