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Dans le regard de Fred
9 juillet 2022

Jour 5 Final - Spécial Red'Active - Interview de Mailis sur les différentes formes de Maisons d'Editions!!

IMG_1903Bonjour, Maïlis, me revoilà aujourd’hui avec toi pour parler des différentes « options » que peut avoir un auteur qui souhaite que son livre soit lu.

Bonjour, Jean-Frédéric. Avec plaisir, car mon métier, c’est avant tout de promouvoir la lecture et l’écriture !

D’abord, ça serait judicieux que tu nous expliques la « chaine » d’un livre. Tout d’abord l’écriture du manuscrit, mais ensuite ?

Une fois que quelqu’un estime avoir terminé son manuscrit, la première démarche qu’il doit effectuer, avant de le transmettre à qui que ce soit, parmi les professionnels ou dans son cercle intime, c’est le faire corriger. En effet, un manuscrit qui arrive entre les mains d’un professionnel, et qui est truffé de fautes d’orthographe ou de syntaxe rebute immédiatement, et le lecteur en question aura bien du mal à lui laisser une chance. Les trop nombreuses erreurs de style ou fautes d’orthographe complexifient la lecture, noient le sens, perdent le lecteur qui, même si le fond de l’ouvrage pourrait être intéressant, abandonne tant ces erreurs rendent la lecture fastidieuse. Tout le monde a le droit d’écrire, et l’écriture est, à mon sens, excellente pour la santé mentale, mais tout le monde n’est pas écrivain pour autant. Chacun doit être conscient de ses propres limites et s’efforcer de les dépasser avant de soumettre son texte à un professionnel, au risque de se discréditer complètement. 

Une fois que le manuscrit est « abouti », sur la forme tout au moins, il convient alors de se demander quoi en faire, et c’est la qu’intervient, je pense, ta seconde question 😉

Et les différentes nuances entre l’autoédition, la maison d’édition à compte d’auteur ou la maison d’édition à compte d’éditeur ?

Il y a trois types d’éditeurs. Les grands éditeurs chez lesquels il est difficile (mais pas impossible) d’entrer, et qui sont évidemment la voie royale pour un auteur. Être choisi par eux, même si les ventes ne sont pas forcément à la hauteur, car ils travaillent essentiellement leurs gros titres, est une consécration pour un auteur, car il a été choisi pour la qualité de son texte. 

Les éditeurs à compte d’auteur (ceux qui demandent une participation financière aux auteurs). Ceux-ci sont à proscrire absolument, car ils ne choisissent pas, et prennent tous ceux qui paient. Il n’y a donc, selon moi, aucune gloire à être retenu par ce type d’éditeur qui, en outre, n’assure parfois aucune promotion commerciale à l’issue de la signature du contrat. 

Et les petits éditeurs à compte d’éditeur (qui ne demandent aucune participation financière à l’auteur) qui choisissent leurs auteurs et font, à mon sens, du bon travail, mais à toute petite échelle, car ils manquent de moyens financiers, de réseau et de visibilité. Si vous choisissez ce type d’éditeur, il faut savoir que votre travail aura été reconnu par un professionnel, ce qui est valorisant, mais que vous ne bénéficierez sans doute pas de la visibilité voulue et méritée. 

C’est la raison pour laquelle je conseille souvent aux auteurs de passer par la voie de l’autoédition, à condition de se faire accompagner par un professionnel pour obtenir un produit de qualité. L’avantage, c’est que si cette formule est payante (car les prestations de correction, maquettage, réalisation de la couverture et référencement sont payants), une fois le livre imprimé, il appartient à son auteur qui récupère l’intégralité des bénéfices, ce qui fait qu’en calculant bien, il se rembourse a minima les frais de « fabrication ». C’est ensuite à lui d’assurer la promotion du livre, mais il le fait comme il le souhaite, sans attendre quelque chose qui ne viendra pas forcément de l’éditeur, soit parce qu’il n’en aura pas les moyens soit parce qu’il s’en moquera.

Quels sont les pièges à éviter ?

Selon moi, le piège à éviter, c’est l’édition à compte d’auteur quand elle n’est pas absolument claire sur les prestations qu’elle propose contre le prix qu’elle demande. De manière générale, j’estime que si vous souhaitez être vraiment publié, il faut attendre qu’un éditeur prenne le risque de le faire gratuitement. C’est la seule manière pour vous d’être sûrs que vous avez été choisis pour la qualité de votre texte. Même si les prestations de ventes ultérieures ne sont pas à la hauteur de vos attentes, votre texte aura été choisi par un professionnel, parce qu’il est bon, et pas parce que vous avez ouvert le portefeuille.

Un auteur peut-il se renseigner quelque part pour avoir des informations sur telle ou telle maison d’édition ?

Je pense que le mieux, c’est de se renseigner auprès des auteurs déjà figurant au catalogue, ou alors de demander à l’éditeur un contrat type vierge pour pouvoir l’analyser.

Existe-t-il une personne ou un organisme qui peut éventuellement aider l’auteur à y voir plus clair ?

Je pense que l’Agence Régionale du Livre est un bon médiateur en la matière. Selon moi, ils connaissent bien la plupart des éditeurs qu’ils référencent et savent faire la différence.

J’entends souvent parler de la « Ligne éditoriale » peux-tu nous expliquer exactement ce que c’est ? 

La ligne éditoriale, c’est le fil conducteur, l’éthique, la thématique qu’un éditeur souhaite défendre. Dans mon cas, il s’agit essentiellement de romans (même si je ne suis pas complètement fermée à d’autres genres) dont le message me touche et dont j’imagine qu’il peut faire du bien. Pour moi, un livre est comme un médicament. Si je pense qu’il peut aider, faire grandir, faire rêver, faire voyager, faire rire, consoler… alors, il rentre dans la ligne éditoriale des éditions Red’Active. Mais attention, il doit être bien écrit !!!!!

Sur quoi un auteur peut se fier pour dire : OUI je veux signer un contrat avec cette Maison d’édition ?

Sur la visibilité qu’elle donne, sur la gratuité de ses services, sur la régularité avec laquelle elle paie ses droits d’auteurs et sur les liens qu’elle entretient avec ses auteurs. Un éditeur qui n’inscrit ses auteurs sur aucun salon, ne leur cherche aucune date de dédicace en librairie et qui ne promeut pas ses auteurs n’est pas un éditeur accompli. Il ne suffit pas de fabriquer un livre, pour être éditeur. Il faut ensuite le défendre et le vendre !

Quel est le travail sur le manuscrit dès la signature du contrat d’édition ?

Il y a tout d’abord un travail, plus ou moins important, de correction. Puis la mise en forme du texte au format éditable (c’est ce que l’on appelle le maquettage). Le référencement et la réalisation de la couverture.

J’aimerais aussi que tu expliques les différents droits sans rentrer dans les pourcentages qui sont propres à chaque Maison d’édition, je suppose ?

En effet, les droits d’auteurs sont propres chaque maison d’édition, mais ils excèdent rarement les 8 %. Généralement, la maison d’édition verse également, à la signature du contrat, ce que l’on appelle un « à-valoir », c’est-à-dire une certaine somme qui sera ensuite déduite des premiers droits d’auteur et constitue une sorte d’acompte sur ces droits. Les droits sont généralement versés à l’auteur une fois par an, en début d’année puisque le calcul s’effectue en fin d’année précédente. Ces droits donnent lieu à différentes cotisations type retraite, car l’éditeur doit les déclarer auprès de l’URSSAF. C’est ce qui fait ensuite que l’auteur sera soumis à l’impôt sur le revenu sur ces droits.

logo rouge bis

Venons-en à ta maison d’édition : Red’Active. Lorsque tu reçois un manuscrit, raconte-nous comment ça se passe jusqu’à la sortie du livre ou jusqu’à son refus bien évidemment.

La première étape, c’est la lecture, bien sûr. Je le soumets tout d’abord à la lecture attentive de Nathalie, mon assistante éditoriale. Lorsqu’elle aime, je lis aussi. Sinon, elle me fait un retour assez précis que j’adresse ensuite à l’auteur pour lui expliquer notre refus et lui proposer des pistes de réflexion ou d’amélioration.

Si le texte me plait également, et que j’ai envie de le publier, alors je me mets en relation avec l’auteur pour lui expliquer ma situation et faire en sorte qu’il soit conscient du fait que je suis toute petite, et qu’il ne gagnera pas sa vie avec moi 😉 Une fois qu’il a pris le temps d’y réfléchir, alors nous signons un contrat, et j’attaque le travail d’édition qui peut prendre jusqu’à six mois et j’essaie de lui communiquer un planning assez cohérent des différentes étapes que j’ai déjà citées plus haut.

Sans parler de la recette miracle (qui n’existe pas). Peux-tu nous éclairer sur les ingrédients que doit-avoir un livre pour être édité chez toi ? 

Il doit avoir un potentiel émotionnel, être bien écrit, me toucher, me faire « tilt », mais c’est extrêmement subjectif. Je prête également grande attention à la manière dont le manuscrit m’est soumis, car cela en dit long sur la personnalité de l’auteur. Je hais l’arrogance, notamment 😉 Comme tu le dis, il n’y a pas de recette miracle. Je suis tout à fait capable de souhaiter publier un texte non abouti si je sens qu’il y a quelque chose d’intéressant et de porteur à en faire, et si l’auteur est prêt à me faire confiance pour toutes les corrections que je souhaite apporter à son texte.

Peux-tu nous rappeler encore une fois comment l’on peut te contacter Maïlis ?

Idéalement par mail à l’adresse mailis.paire@gmail.com, sur Messenger, sur mon site internet www.redactiveeditions.com et, en dernier recours parce que je n’aime pas cela 😉, par téléphone au 06.50.95.20.82

Mailis11

Voilà nous en arrivons à la fin de cet interview, je t’embrasse et j’espère te rencontrer bientôt. Au plaisir.

Merci encore pour ce bel espace de parole et pour ton inconditionnel soutien… Tu es précieux, ne change rien !

C’est inhabituel, pour ne pas dire que je ne l’ai jamais encore fait MAIS pour une fois je vais avoir le mot de la fin (enfin presque)… NON Mailis, ce passage la n’était pas sur l’interview cependant, je voulais que quelques personnes parlent de la personne que tu es… Évidemment, je ne vais pas te répéter qu’ à mes yeux tu es une personne simplement MAGIQUE, ADORABLE, et AU GRAND CŒUR… Et je vais oser l’avouer ….JE T’ADORE….

 

En tant qu’auteure merci Mailis de ne pas être passée sans me voir… pour ta disponibilité, ton écoute.
Pour la belle équipe autour de toi qui m’a accueillie chaleureusement…
Une aventure extraordinaire qui commence avec la parution de mon roman!
En tant que lectrice:  des découvertes bouleversantes et un choix très éclectique, il y en a pour tous les goûts chez Red’active éditions !

Lola Cano

« Il y a des rencontres inoubliables qui changent votre chemin de vie à jamais. Mailis par sa sensibilité à su être touchée par mes mots et l’histoire de By Simon. Elle l’a porté, transporté vers les lecteurs. Elle est ce lien invisible qui permet d’être lu. Sa maison d’édition Red’Active, lui ressemble, elle est hétéroclyte, vivante, pétillante. »

Céline Tillier

 

Une histoire de salon!

Nous nous sommes rencontré en voisins de stand au cours d'un salon du livre, un salon où tu proposais tes toutes premières réalisations en tant qu'éditrice, et où je dédicaçais "Chromosome Philadelphie" mon tout premier roman. L'ex libraire et lectrice passionnée que tu étais ne put s'empêcher d'en feuilleter les premières pages. Un mal pour toi car sa lecture te préoccupa bien plus que la vente de tes propres livres, mais un bien pour moi, car ton commentaire "qu'est-ce que j'aurais aimé l'éditer ce livre", allait s'avérer prémonitoire!

Quelques années plus tard, Cathy et moi avons la chance de te compter parmi nos amies, et pour mon plus grand bonheur, tu es aujourd'hui l'éditrice de "Chromosome Philadelphie" dans une version totalement remaniée et au format poche. Merci Maïlis ! 

Claude Carré

 

Mon roman 'Mané' co-écrit avec Ibrahima Kandé est édité aux éditions Red'Active 
Voici mes quelques mots sur cette maison d'édition : 

'J'ai vu Red'Active naitre et grandir. Je suis très heureuse de faire partie de cette famille d'auteurs, avec mon premier roman édité : 'Mané'. Maïlis Paire a su créer bien plus qu'une simple maison d'édition ; elle a, avec passion, fédéré des auteurs autour de belles valeurs humaines. Je souhaite une longue et belle vie à Red'Active !'

Merci pour l'intérêt que vous portez à cette maison d'édition et à ses auteurs 

Au plaisir 
Laurie Wilbik

 

Que chemin parcouru depuis bientôt deux ans: deux années marquées par notre rencontre, nos premiers échanges autour du manuscrit de "Jeux de lumière", et puis ton engagement et ton enthousiasme pour publier ce texte qui m'est si cher. Pour cela, je ne te remercierai jamais assez! 
Longue vie à Red'Active et le meilleur pour toi ma chère Maïlis.💖"

Aurélie 

 

Maïlis, c'est d'abord une voix. Qui me dit que ce qu'elle vient de lire, et c'est de mon manuscrit qu'elle parle, est "remarquable ". Des mots que j'accueille dans un sanglot que je retiens.

Quelques mots pour que, tout à coup, l'acte d'écrire qui vient régulièrement envahir ma vie soit légitimé. Et que se brise alors, à cet instant-là, le carcan d'une existence qui se faisait croire que seule la vie réelle comptait.

Alors il y a tant à dire sur Maelis. Son dynamisme, son enthousiasme, sa passion. Sa force. Ses doutes et ses espoirs. Ses courages et ses renoncements. Tant de choses à dire que je ne dirai pas.

Juste dire que rien ne contredira jamais ce moment de grâce où une chose, soudain, prend sens. Ce moment fugace dont elle est l'initiatrice et qui m'a offert un parfum d'éternité.

Valérie. 

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Chère Maïlis, chère éditrice (c’est pour la rime, sinon je ne t’appelle jamais comme ça… ce serait plutôt Cheffe ou Boss ou Patronne, quoi !),

Quand bien même la distance nous sépare,

Les kilomètres ne sont rien,

Quand la proximité des mots répare,

Rapproche et nous fait du bien.

Entre toi et moi existe un lien indéfectible,

Qu’on pourrait qualifier de relation… textuelle !

Bien plus forte que toute autre, perfectible,

Gravée dans le marbre, le papier éternel.

Des bises, Seb

 

Mailis, ma féeditrice,  guerrière des mots, dévouée tant et tant à tes auteurs, dont j'ai l'honneur, la fierté, et la chance, de faire partie. Celle qui ne voulait pas écrire, celle qui affrontait ses peurs, avait encore un dernier défi à relever, et tu l'y as poussée, accompagnée, jusqu'à ce qu'elle se retrouve aujourd'hui à sa place sur les salons d'écrivains. Pour cela, et tout le reste, dont ton amitié sans limite, je te remercie. Je t'aime ma féeditrice 💖

Stéphanie

 

Il y a des êtres qui comptent plus que d'autres, parce près d'eux, on se sent bien. Il y a des rencontres qui changent une vie. Mailis, merci pour ton amitié belle est sincère, à ton image💞

Joelle

 

Nous t’embrassons très fort Maïlis

Dragan et Radmila 

 

Belle, jolie, gracieuse, le sourire généreux, c'est Maïlis. Sur tous les fronts pour sa maison d'édition, elle épate pour sa combativité, sa disponibilité pour tous les auteurs qu'elle chérit, comme ces mamans canards qui conduisent leur petite marmaille au fil de l'eau... de l'écriture. 

Maïlis, je t'embrasse très fort, je te souhaite une longue et belle aventure avec ton bébé Red'Active qui grandit comme tous les bébés, avec des moments difficiles et beaucoup de bonheur. Que le bonheur t'accompagne toujours !  Bon vent sur les flots capricieux de la vie, ta petite arche de Noé embarque les meilleurs ! 

Chantal 

 

"Le sourire, la joie, la bonne humeur soutiennent le parcours du combattant que s'est fixé Maïlis. Combattante, elle ne renonce jamais à son rêve. Celui fait des mots des autres, qu'elle porte au jour et offre aux lecteurs. Bravo Mailis"

Patricia

 

Mailis,

Vinicius de Moraes, grand troubadour de la bossa-nova a dit un jour que la vie c'est l'art des rencontres. Merci donc à cette maladie mortelle sexuellement transmissible qu'on la nomme vie d'avoir mis les mains dans le grand bazar des 7,8 millards d'existences humaines dont tic-tac de rouages suisses doit s'entendre jusqu'à Alpha du Centaure. Et merci à Jean-Paul Delfino qui connait tout Vinicius par coeur de l'y avoir aidé. Je suis heureux d'avoir rencontré l'éditrice, vaillant Petit Cheval qui se démène dans le mauvais temps littéraire. Nous tous derrière et elle devant. Et je suis encore plus heureux d'avoir connu la fille qui prend le temps de boire des Pago-fraise et des rosés avec moi. Pour se soumettre à la torture de la question du romancier qui débute comme pour simplement papoter de la vie, l'amour les vaches. Sachant que si tout le monde avait consacré autant de temps que moi à tchatcher devant un verre, l'électricité n'aurait sans doute jamais été inventée. 

Merci à Mailis d'être elle et merci encore à la vie en espérant qu'à défaut de combler tous ses vœux, elle ne la rudoiera pas plus qu'elle ne l'a déjà fait et que, soyons fous, elle lui amènera quelques caresses

Manu 

Mailis est un éditeur pas tout à fait comme les autres ; c’est la chef de bande qui, lorsqu’elle est  entourée de ses auteurs, est la plus heureuse. Son visage s’illumine lorsqu’elle se retrouve au milieu de ceux qui lui apportent des centaines de lignes, il  ressemble un peu au visage de maître Cornille, entouré par les paysans, lorsqu’il plonge ses mains dans les sacs de blé ramenés à son moulin, afin qu’il continue à vivre. Comme maître Cornille elle n’abdique pas devant les difficultés, elle crie à l’injustice et se bat pour que les ailes continuent de tourner. Comme maître Cornille, elle sait que face aux géants, sa passion, son idéal pour son métier, sa qualité du travail rendu et l’amitié que leur apporte ses amis auteurs, sont les armes essentielles qu’elle oppose à l’anonymat de ceux qui voudraient que la proximité disparaisse.

Mailis, nous t’aimons !

Jean Pierre Squilari

 

‌Maïlis, car il y a des mots qu'on ne se lasse de dire, et qu'on ne se lasse d'entendre (j'espère !) je te les glisse dans ces quelques lignes : je t'Aime ! Tu te soucis toujours de nous, à penser que tu ne nous apportes pas assez. Te souviens-tu de cette interview où je disais manquer de confiance en moi, au point que cela ressorte dans mes rêves, à me faire échouer même dans mes songes !? Le fait d'être sous ton aile, j'arrive à évoluer sans me laisser piétiner par ce manque de confiance. Le fait d'être accompagnée par toi, je fonce dans cette aventure fabuleuse le cœur léger. Sans toi.... J'en serais incapable ! Tu es une nécessité pour moi, pour nous. Tu me rends légitime, tu me rends meilleure (murmura-t-il), et tu rends la vie de ceux qui s'approchent de toi plus belle. Une personne a dit de toi que tu es une fééditrice, c'est vrai ! Tu es une fée et quel bonheur de partager une partie de ta vie !!! Alors Maïlis, sache que tu nous apportes immensément plus que ce que tu peux imaginer, merci de faire vivre mon rêve, et merci d'être cette être passionnée avec une si grande humanité, on a tant besoin de personnes comme toi ! J'aimerais qu'un jour... tu réalises tout ce que tu nous apportes, que tu réalises à quel point tu permets à nos vies de grandir ! Je t'embrasse très fort !

Thalie

 

1000 pensées positives pour la douce Maïlis... longue est la route, difficile le chemin,  mais si belle la

destination.  MERCIIIIIII 💓 💖 💞Jack Laurent Amar

 

IMG_1910

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Commentaires
T
Maïlis.... surprise !!!! 😁.<br /> <br /> Encore merci Fred pour cette semaine Red'active, ça a été un plaisir de découvrir tes interviews tout au long de la semaine !
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Dans le regard de Fred
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