Durant les quelques pas menant aux vices, j'ai le cœur qui bat à une cadence folle. J'essaye d'imaginer ce que nous allons trouver mais c'est impossible.
Devant le rideau rouge vif, j'embrasse une nouvelle fois ma femme et nous pénétrons dans l'enceinte.
De longs buffets se dressent dans la salle où nous pénétrons. De nombreuses personnes picorent, d'autres discutent entre eux. Quelques-uns copulent déjà.
La salle est très grande, mais ce n'est pas la seule. Nous partons explorer les coins et recoins.
Plusieurs pièces par ci par là, une piscine intérieure, des dizaines d'alcôves et même un jacuzzi.
Ça me rappelle un week-end avec Justine où nous avions profité ensemble d'un bain à remous. C'était au tout début de notre histoire, nous étions si jeunes et si charnels à cette époque-là.
Peut-être que ce soir, nous retrouverons cette folie perdue, la soirée a l'air propice à tellement de belles choses.
Au détour d'un couloir, j'invite Justine à l'intérieur d'une alcôve. Depuis que je l'ai vue dans sa tenue, ma seule envie est de lui faire l'amour.
Surtout qu'il faut l'avouer, ça fait longtemps que je n'avais pas senti ma femme autant excitée.
Nos baisers échangés sont fougueux, passionnés. Nos lèvres se mélangent entre elles. Mes mains se font exploratrices, se glissant tout d'abord sur le léger tissu, caressant sa jolie poitrine, titillant ses tétons qui se dressent fièrement.
Mes baisers descendent dans son cou pour venir remplacer mes mains, je lèche, mordille ses bouts. Justine frissonne, émet des petits gémissements qui me poussent à aller plus loin dans ma conquête.
Mes doigts se dirigent entre ses cuisses. J'effleure de mes doigts sa fente déjà humide, insistant sur son clitoris.
Ma femme s'embrase, se consume, elle s'occupe de déboutonner mon pantalon, caressant ma queue à travers mon boxer.
- Luc, baise-moi ! s'exclame-t-elle, me surprenant dans son invitation.
Justine s'installe sur un matelas, les jambes bien écartées, prête à m'accueillir dans ses orifices.
Le temps de m'installer entre ses cuisses, je présente mon sexe à l'entrée de sa fournaise et d'un coup de rein je m'introduis en elle.
Ça faisait longtemps que je n'avais pas eu autant envie de ma femme de la sorte. La voir autant excitée me transcende encore plus à l'honorer.
Mes va-et-vient sont énergiques, elle m'accueille, en gémissant, j'aime l'entendre me supplier d'y aller encore plus fort alors j'accélère ma cadence.
Autour de l'alcôve, des hommes regardent, certains se masturbent, cette exhibition semble-t-elle, émoustille encore plus Justine.
Elle tremble, ses spasmes s'intensifient, ses gémissements sont devenus des hurlements.
Justine se retire, faisant par la même occasion retomber ma pression. Elle s'installe à quatre pattes, face à ceux qui la mâtent. Son attitude m'étonne de plus en plus, surtout que ça fait une éternité que je ne l'ai pas prise ainsi.
Je reprends mes allers-retours en la tenant par les hanches, elle est incroyable ce soir. Les claquements de mon ventre contre son fessier me transcendent à redoubler d'efforts pour la combler généreusement.
A ma grande surprise, je la vois lever la tête pour inviter un homme qui sans se faire prier se place devant-elle.
Ma femme commence d'abord par le branler, puis le prend en bouche en le suçant tout en accusant mes coups de queue butant en elle.
Plus je la pénètre, plus elle bouge son bassin, continuant à lécher, consommer la bite de son inconnu.
- Luc, encore plus fort, supplie-t-elle avant de reprendre le membre de son invité en bouche.
Je n'ai jamais pris autant de plaisir à la baiser comme ce soir. L'homme que ma femme suçait, vient d'éjaculer en maculant son visage angélique.
Je ne cesse de la pénétrer de plus en plus fort, jusqu'à jouir à mon tour, inondant son vagin de mon foutre.
M'écroulant à côté d'elle, je la regarde me souriant, des filets de spermes coulant sur son visage radieux et transpirant.